Author Archives: ecolegrevillers

chant/musique: 🎶 ​Tu vois loin – Eiffel🎤

 

version raccourcie:

Tu les sens les courants d’air qui s’faufilent sous tes couettes
Jusqu’aux p’tites mèches qui frangent insolemment ta frontale
Toutes ces pensées agiles qui en traversant les villes
Sont à deux doigts de s’faire du bien en s’faisant la malle

 

Si l’or a un prix et que ce prix est l’ennui

Toi tu s’ras sûrement là pour percuter l’immobile!

 

Les éclairs de tes yeux crachent à l’infini
On n’peut les contempler sans être ébloui
Fluide comme l’air d’un tout nouveau pays
De la lumière à en déchirer la nuit

Tu vois loin x3

beaucoup plus loin que nous

 

T u vois loin comme quand on ne sait rien et que l’on sent tout
Et dans la p’tite cuillère faire glisser
L’ordinaire que l’on catapulte au loin

Tu vois loin x2

 

Les éclairs de tes yeux crachent à l’infini
On n’peut les contempler sans être ébloui
Fluide comme l’air d’un tout nouveau pays
De la lumière à en déchirer la nuit

 

Tu vois loin x3

beaucoup plus loin que nous

 

loin loin loin

beaucoup plus loin que nous

art visuel: les mélanges et l’art abstrait Kandinsky chap 8 T1 Le maitre des potions

On va apprendre deux nouvelles techniques pour faire de jolis fonds:

 

en lien avec les mélanges

 

1- en atelier, par groupe de 4: Mousse à raser + encre
Mettre de la mousse à raser sur un plateau ou de l’aluminium,
L’étaler,
Rajouter quelques gouttes d’encre et
Dessiner avec quelque chose de pointu (aiguille en plastique, pic à brochette, etc…).
Poser la feuille cartonnée sur notre mélange mousse/encre et on appuie pour faire adhérer la mousse.
Récupérer la feuille et enlever la mousse à raser en raclant la feuille avec une règle. Soit on la remet sur le plateau pour l’enfant suivant, soit on jette la mousse à raser déjà colorée si tout le groupe est passé.
Selon les couleurs utilisées, l’étalement de la mousse à raser, les dessins dessinés avec l’encre, le résultat change complètement.
Une fois les fonds finis, on travaillera sur l’art abstrait et sur l’oeuvre Jaune-Rouge-Bleu de Kandinsky et vous essaierez de trouvez des formes particulières au noir sur votre fond.

 

exemple de production:

en lien avec les potions (é-bull-ition)

 

2- en atelier, tout seul

l’é-bull-ition dans les potions:

faire un fond de bulles colorées en t’inspirant de:

https://lateliergeant.geant-beaux-arts.fr/tutos-demos/peinture-tutos-demos/peindre-avec-des-bulles-de-savon-par-amylee/

exemple de production:

[Après séchage, une tête de tyrannosaure est apparue sur celui d’Antoine!]

Quelques cercles- peint en 1926 – Kandinsky

écriture: formation des lettres en lié : Y

 

formation des lettres en lié : I

 Sur une ardoise avec les lettres.

 

formation des lettres en lié : I

 

Une ligne sur ta feuille de « Travail du jour »

 

formation des lettres en lié : I

Deux mots à écrire sur ta feuille de « Travail du jour »
​1 – mot en français:​

 

2 – ​mot en anglais:

 

 

formation des lettres en lié : I

Sur ta feuille de « Travail du jour ».

 

Dans le tome 2, pendant un des cours de Gilderoy Lockhart, Harry doit jouer un Yéti pour reconstituer une des scènes clés d’un de ses livres: une année avec le Yéti.

 

écriture: recette d’une potion lien chap8 T1 Harry Potter

lien Georges Bouillon Roald Dahl

Cuisiner, c’est avant tout transformer des ingrédients en une matière comestible nouvelle: un plat. Il en est de même pour la préparation d’un médicament et … d’une potion magique.

L’ébullition est l’une des phases essentielles de cette transformation.  (lien sciences les différents états de l’eau). Venant du verbe latin bullire, bouillir signifie « faire des bulles ».

Roald Dahl a choisi soigneusement le nom de famille de Georges. (Bouillon)

 

Apprentis sorciers:

RECETTE INDIVIDUELLE pour notre grimoire de potions

Comment faire pour écrire une recette ?

Je vais vous distribuer des recettes et vous allez essayer de trouver les ressemblances.

Comment sont disposés les différents éléments ?

**************

Pour le titre, il commencera par ‘Pour …’ . Par exemple, si je veux comme Georges que ma recette fasse disparaitre quelqu’un, le titre de ma recette sera : Pour faire disparaitre quelqu’un.

Réfléchissez à ce que vous voudriez que votre potion fasse, puis écrivez le titre de la recette.

Il faut maintenant choisir les ingrédients que vous voudrez utiliser dans la recette.

Pour vous aider, vous pouvez utiliser les ingrédients tirée de Georges Bouillon.

jeu de la cuisine des mots

-écrire le nom d’une partie du corps humain ou d’animal sur un bout de papier puis le mettre dans la 1ère enveloppe. 

cité dans ces pages:

 

[Ceux que vous avez trouvé en + : bave, crotte, caca, jus, poudre, plume, morve, sang, peau, brin, cou, oreilles 

-écrire la préposition « de » + nom d’être vivant (humain, animal, animal fantastique) (+adj)  sur un bout de papier puis le mettre dans la 2ème enveloppe. 

cité dans ces pages:

 

[Ceux que vous avez trouvé en + : de poubelle, de licorne, de dragon, de Touffu, d’herbe

tirer un papier dans chaque enveloppe pour avoir un nom d’ingrédient, précise la quantité.

 

Tout ceci est encore insuffisant pour qu’on obtienne une véritable recette de potion magique. En effet sauriez-vous réaliser cette recette proposée par Gabriel rien qu’avec la liste de ingrédients?

Qu’est-ce que le texte de la recette apporte comme informations?

On va barrer dans le texte de la recette, toutes les informations que donnent déjà la liste des ingrédients.

Ce qu’il reste, c’est la marche à suivre. Comment appelle-t-on la majorité des mots qui la compose?

Ecrivez maintenant quoi faire avec les ingrédients.

(Les mettre dans un chaudron, faire bouillir l’eau, mélanger les yeux de tortue avec la farine, éplucher des ailes de hibou…)

Vous pouvez utiliser cette liste de verbes pour trouver les mots et savoir comment les écrire.

faire bouillir, ajouter, incorporer, arroser, laisser/faire mijoter, bien remuer, cuire, griller, frire, rôtir, couper, découper, inciser, ciseler, hacher, râper, nettoyer, presser, éplucher, émincer,  mélanger, mettre, saupoudrer, assaisonner, poivrer, saler, sécher, servir, verser, 

Agrémentez votre recette d’une ponctuation, de verbes sans complément (saler…), d’une ou deux indications de cuisson (une pincée, une goutte, ___g, une cuillère à café, à soupe ….) : votre recette est prête!

 

 

RECETTE COLLECTIVE: 

ingrédients: eau du lac de Poudlard, poils de Touffu, feuilles du filet du diable, potion des flammes noires, racines de mandragores, larme de phénix

verbes à utiliser

verser, inciser, ciseler, ajouter, couper, incorporer.

******

Apprentie sorcière dans les Contes Courts 

 

écriture: formation des lettres en lié : X

 

formation des lettres en lié : I

 Sur une ardoise avec les lettres.

 

formation des lettres en lié : I

 

Une ligne sur ta feuille de « Travail du jour »

 

formation des lettres en lié : I

Deux mots à écrire sur ta feuille de « Travail du jour »
​1 – mot en français:​

2 – ​mot en anglais:

 

 

formation des lettres en lié : I

Sur ta feuille de « Travail du jour ».

 

En anglais, X-mas est une abréviation pour le mot « Christmas » qui signifie Noël.

littérature: la potion magique de Georges Bouillon de Roald Dahl lien chap8 T1

 

Grandma    (extrait)
Un samedi matin, la mère de Georges Bouillon dit à son fils :
— Je vais faire des courses au village. Sois sage et ne fais pas de bêtises.
Voilà exactement ce qu’il ne faut pas dire à un petit garçon, car cela lui donne aussitôt l’idée d’en faire !
— Et à onze heures, n’oublie pas de donner sa potion à Grandma, poursuivit la mère.
Puis elle sortit en refermant la porte.
Grandma, qui sommeillait dans son fauteuil, près de la fenêtre, ouvrit un petit œil méchant.
— Tu as entendu ce qu’a dit ta mère, Georges, aboya-t-elle. N’oublie pas ma potion.
— Non, Grandma, dit Georges.
— Et pour une fois, sois sage tant qu’elle n’est pas là.
— Oui, Grandma, dit Georges.
Georges s’ennuyait à mourir. Il n’avait ni frère ni sœur. Son père était fermier et, comme la ferme était loin de tout, Georges n’avait pas d’amis avec qui jouer. Il en avait par-dessus la tête de vivre dans la même maison que cette vieille ourse mal léchée de Grandma.
Passer son samedi matin à s’occuper d’elle ne le réjouissait guère.
— Prépare-moi une petite tasse de thé, dit Grandma à Georges. Ça t’empêchera de faire des bêtises pendant un moment.
— Oui, Grandma, répondit Georges.
— Combien de cuillerées de sucre dans ton thé, aujourd’hui, Grandma ? demanda Georges.
— Une, répondit-elle sèchement. Et n’ajoute pas de lait.
La plupart des grand-mères sont d’adorables vieilles dames, gentilles et serviables, mais pas celle-là. Elle passait sa journée, toutes ses journées, assise dans son fauteuil, près de la fenêtre et elle était tout le temps en train de se plaindre, de bougonner, de ronchonner, de râler et de pester sur tout et sur rien. Jamais, même dans ses bons jours, elle n’avait souri à Georges, jamais elle ne lui avait dit : « Bonjour, Georges, comment ça va ? » ni : « Et si on jouait au jeu de l’oie ? » ni : « Comment ça s’est passé à l’école aujourd’hui ? » Elle ne
s’intéressait qu’à elle.
Georges alla à la cuisine et prépara une tasse de thé avec un sachet. Il mit une cuillerée de sucre en poudre, remua et apporta la tasse dans la salle de séjour.
Grandma but une petite gorgée de thé.
— Il n’est pas assez sucré, dit-elle. Ajoute un peu de sucre.
Georges ramena la tasse dans la cuisine et ajouta une autre cuillerée de sucre. Puis il remua et rapporta la tasse à Grandma.
— Où est la soucoupe ? demanda-t-elle. Je veux une soucoupe avec ma tasse.
Georges partit chercher une soucoupe.
— Et la cuillère, s’il te plaît ?
— J’ai remué pour toi, Grandma. J’ai bien remué.
— Merci bien, je remue mon thé, moi-même, dit-elle. Va me chercher une cuillère.

Georges alla chercher la cuillère.
Quand les parents de Georges étaient à la maison, Grandma ne se montrait jamais aussi capricieuse. Mais quand elle restait seule avec lui, elle le rudoyait sans cesse.
— Tu sais ce qui ne va pas, chez toi ? dit la vieille femme, en regardant Georges de ses petits yeux brillant de méchanceté. Tu grandis trop vite. Les garçons qui grandissent trop vite deviennent stupides et paresseux.
— Mais je n’y peux rien, Grandma, répliqua Georges.
— Ne mange plus du chocolat. Mange plutôt du chou.
— Du chou ? Oh, non ! protesta Georges. Je n’aime pas le chou.
— Que tu aimes ou pas, peu importe, coupa Grandma. Ce qui compte, c’est ce qui est bon pour toi. A partir de maintenant, tu mangeras du chou trois fois par jour. Des montagnes de choux. Et tant mieux s’il y a des chenilles !
— Beurk ! fit Georges.
— Les chenilles rendent intelligent, dit la vieille femme.
— Maman lave soigneusement les feuilles de chou, répliqua Georges.
— Maman est aussi idiote que toi, affirma Grandma. Le chou n’a aucun goût sans quelques chenilles bouillies, ni sans limaces.
— Des limaces, non ! s’écria Georges Jamais je n’en mangerai !
— Moi, dit Grandma, quand je vois une limace vivante sur une feuille de salade, je l’avale aussitôt, avant qu’elle ne s’enfuie. C’est délicieux.

— Tu plaisantes, Grandma ?
— Je ne plaisante jamais, dit-elle. Les scarabées sont peut-être encore meilleurs. Ils croustillent sous la dent.

— Grandma, c’est dégoûtant !
Georges se mit à filer vers la porte. Il voulait fuir loin de cette écœurante vieille femme.
— Tu essaies de t’enfuir, n’est-ce pas ? dit-elle en pointant son doigt vers lui. Tu veux abandonner ta Grandma.
« C’est peut-être… une sorcière ! » se dit Georges. Il avait toujours pensé que les sorcières n’existaient que dans les contes de fées mais, à présent, il n’en était pas sûr.
— Approche-toi, petit, dit-elle, lui faisant signe de son doigt crochu. Approche-toi, et je te confierai des secrets.
Georges recula d’un pas, se rapprochant un peu plus de la porte.
— Tu ne dois pas avoir peur de ta vieille Grandma, dit-elle, avec un sourire sinistre.
Georges fit un autre pas en arrière.
— Certains d’entre nous ont des pouvoirs magiques, qui peuvent transformer les créatures humaines.
Un picotement électrique parcourut la colonne vertébrale de Georges. Il commençait à
avoir peur.
— Certains d’entre nous, continua la vieille sorcière, ont du feu au bout de la langue, des étincelles dans le ventre et des éclairs au bout des doigts… Nous savons ce qu’il faut faire pour que tu te réveilles un beau matin avec une longue queue par-derrière.
— Grandma, arrête ! s’écria-t-il.
Georges fonça vers la porte.
— Tu peux toujours courir, dit-elle, tu ne nous échapperas pas. Georges claqua la porte derrière lui et se réfugia dans la cuisine.

Un plan diabolique
Georges s’assit à la table de la cuisine. Il tremblait encore. Oh ! comme il détestait Grandma ! Il haïssait vraiment cette horrible vieille sorcière. Et tout à coup, il eut terriblement envie de faire quelque chose Une chose énorme. Une chose absolument terrifiante. Une chose abominable. Une véritable bombe. Il voulait « chasser cette odeur de sorcellerie qui flottait autour de la mégère. Il n’avait que huit ans, certes, mais c’était un courageux petit garçon. Il était prêt à défier la sorcière !
« Je ne vais pas me laisser terroriser », se dit-il.
Mais il était bel et bien terrorisé. C’est pourquoi il voulait se débarrasser d’elle sur-le-champ.
Enfin… pas tout à fait. Il voulait la secouer un peu.
Exactement, la secouer. Mais qu’inventer d’énorme, de terrifiant, d’explosif ?
Il aurait bien mis un pétard sous le fauteuil, mais il n’avait pas de pétard.

Il aurait bien aimé lui glisser un long serpent vert dans le cou, mais il n’avait pas de long serpent vert.

Il aurait bien aimé lâcher six gros rats, noirs dans la pièce où elle se trouvait, mais il n’avait pas six gros rats noirs.

Georges réfléchissait à ce passionnant problème, lorsque son regard tomba sur la potion brunâtre de Grandma, posée sur le buffet. Encore un sale truc. On glissait dans la bouche de Grandma une cuillerée de ce médicament quatre fois par jour, mais il ne lui faisait aucun bien. Elle restait toujours aussi épouvantable. En principe, un médicament doit améliorer la santé des gens. S’il n’y réussit pas, il ne sert à rien.
« Oh ! oh ! pensa soudain Georges. Ah ! ah ! Eh ! eh ! je sais exactement ce que je vais faire. Je vais lui préparer une nouvelle potion, une potion si forte, si violente et si fantastique qu’elle la guérira complètement ou lui fera sauter la cervelle ! Je fabriquerai une potion magique, un médicament qu’aucun médecin n’a inventé jusqu’à présent. » Georges regarda l’horloge de la cuisine. Il était dix heures cinq. Il avait presque une heure devant lui, puisque Grandma devait prendre son médicament à onze heures.
— Allons-y ! s’écria Georges en se levant d’un bond. Vive la potion magique !

Une puce, un pou, une punaise des bois,
Deux gros escargots et trois lézards gras,
Un serpent de mer tortillant gluant,
Du jujubier le jus du fruit,
La poudre d’os d’un marsupilami,
Et puis mille et un autres produits.
Sentez-vous ? Vraiment répugnant.
Je remue, fais bouillir longtemps.
Belle mixture, en vérité !
C’est prêt !
Bouchez-vous le nez !
Et une cuillerée pour Grandma !
Allons, avale-moi ça !
C’est bon, n’est-ce pas ?
Va-t-elle éclater ? Exploser ?
S’envoler par-dessus les toits ?
S’évanouir dans la fumée ?
Pétiller comme du Coca ?
Qui sait ? En tout cas, pas moi !
Ma chère, chère Grand-maman,
Si tu savais ce qui t’attend..


On ne va pas lire tout le livre, on va rester sur l’idée de la potion.

Il est à disposition dans la classe pour ceux qui veulent connaitre la suite.

******************************

 

 

 

 

 

musique/chant: C’est pas d’l’amour – J-J Goldman

🎶 ​🎤 C’est pas d’l’amour – Jean Jacques Goldman

( au New Morning 1994 (concert acoustique)) https://www.youtube.com/watch?v=wQVv047AgFQ

 

« […]Pour elle [ma mère], je suis comme ces musiques qu’on entend sans écouter[…]

version raccourcie:

Ça ressemble à la sagesse, à ces paix qu’on signe un jour
Juste au prix de nos jeunesses, sans trompette ni tambour
C’est plein de baisers caresses, plein de mots sucrés d’enfants
Attestation de tendresse, rituel rassurant

 

Harmonie, intelligence et raison ou sérénité
Complice connivence, autant de mots pour exprimer tout ce que c’est
C’est un peu tout ça tour à tour
Mais en tout cas, c’est pas d’l’amour

 

Sans peur et sans solitude, le bonheur à ce qu’on dit
Y’a bien des vies sans Beethoven* et sans avis
Pourquoi pas des vies sans cri

 

Mais qu’on soit contre au qu’on soit pour
En tout cas, c’est pas d’l’amour x3

Pourtant ça r’ssemble à la Toscane*

En tout cas, c’est pas d’l’amour

Si douce si belle de Vinci*

En tout cas, c’est pas d’l’amour

C’est un peu comme ces musiques qu’on entend sans écouter

En tout cas, c’est pas d’l’amour

j ‘trouve ça bien flou

En tout cas, c’est pas d’l’amour

Harmonie intelligence sérénité

En tout cas, c’est pas d’l’amour

C’est bien ou c’est mal
En tout cas, c’est pas d’l’amour

C’est plus d’l’amour

C’est plus d’l’amour

C’est plus d’l’amour

_________________________________________

*Beethoven

est un célèbre compositeur allemand. On a écouté sa symphonie n°5.

joué par un orchestre: https://www.youtube.com/watch?v=n3EiRynr1Us&ab_channel=BostonPhilharmonic

*La Toscane est une région d’Italie

où vivait *Léonard de Vinci, qui a peint

la Joconde.

 

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