liens extraits vidéos, persos et lieux + résumé chap9 T1 Duel à minuit

 

jeudi

page 3 : Insupportable.
Harry avait toujours pensé qu’il était impossible de rencontrer quelqu’un d’aussi détestable que Dudley mais c’était avant de faire la connaissance de Drago Malefoy. Les Gryffondor avaient également le cours de vol sur
balai en commun avec les Serpentard. Harry avait peur de se ridiculiser devant Malefoy en essayant de manier un manche à balai. Les leçons de vol étaient cependant celles qu’il attendait avec le plus d’impatience.
Page 4 : Balais volants.
Il est vrai que Drago Malefoy parlait beaucoup de balai volant, mais il n’était pas le seul. Seamus Finnigan et Ron aussi prétendaient avoir fait des acrobaties aériennes quand ils étaient plus jeunes. Tous les élèves
issus de familles de sorciers parlaient sans cesse de Quidditch. Ron avait déjà eu une longue dispute avec Dean Thomas à propos du football, il ne voyait pas ce qu’on pouvait bien trouver d’intéressant à un jeu qui ne comportait qu’une seule balle et où il était interdit de voler.
Page 5 : Redoutable
De son côté, Neville redoutait ce moment, Harry comprenait : étant donné le nombre incroyable d’accidents que Neville avait déjà eu dans sa vie en restant les deux pieds sur terre. Hermione redoutait tout autant que lui la première leçon de vol, car c’était quelque chose qu’on ne pouvait pas apprendre par cœur dans un livre – et pourtant elle avait essayé !
Page 6 : Courrier du matin.
Avant leur leçon de vol, pendant le petit-déjeuner, eut lieu l’habituelle livraison de courrier par les hiboux. Mis à part l’invitation d’Hagrid en début d’année, Harry n’avait jamais reçu de courrier. Ce matin-là, une chouette effraie apporta à Neville un paquet que lui envoyait sa grand-mère, il sortit du colis une grosse bille petite boule en verre remplie de fumée.
– C’est un Rapeltout ! expliqua-t-il. Ça sert à se souvenir de ce qu’on a oublié de faire. Il suffit de la tenir dans sa main, comme ça et si on a oublié quelque chose, elle devient rouge.
Page 7 : Le Rapeltout de Neville.
Neville fronça les sourcils : dans sa main, la boule était devenue écarlate. Pendant qu’il essayait de se rappeler ce qu’il avait oublié, Drago Malefoy passa près de la table des Gryffondor et lui prit le Rapeltout des mains. Harry et Ron se levèrent d’un bond pour défendre Neville mais le professeur MacGonagall intervint et Malefoy n’eut d’autre choix que de rendre le Rapeltout.
Page 8 : Premier cours de vol.
À trois heures et demie, cet après-midi-là, les élèves de Gryffondor sortirent dans le parc pour se rendre sur le lieu de leur première leçon de vol. Les Serpentard étaient déjà là, ainsi qu’une vingtaine de balais soigneusement alignés sur le sol. Madame Bibine Elle avait des cheveux courts et gris et des yeux jaunes comme ceux d’un faucon. , le professeur de vol, arriva bientôt. Madame Bibine est professeure de vol ainsi qu’arbitre de Quidditch.
– Mettez-vous chacun devant un balai. Allez, dépêchez-vous ! Tendez la main droite au-dessus du balai, ordonna Madame Bibine, et dites : « Debout! »
Page 9 : Debout !
– DEBOUT ! crièrent les élèves à l’unisson.
Le balai d’Harry lui sauta aussitôt dans la main. Il était l’un des rares élèves à réussir du premier coup ! Le professeur leur montra ensuite comment enfourcher le manche sans glisser. Harry et Ron furent enchanté
de l’entendre dire que Malefoy tenait très mal le sien.

 

vendredi

Page 10 : Consigne
– Et maintenant, dit le professeur, à mon coup de sifflet, vous donnez un coup de pied par terre pour vous lancer. Frappez fort. Vous tiendrez vos balais bien droits, vous vous élèverez d’un ou deux mètres et vous
reviendrez immédiatement au sol en vous penchant légèrement en avant. Attention au coup de sifflet. Trois, deux…
Mais Neville était tellement nerveux qu’il frappa le sol avant le coup de sifflet.
– Redescends, mon garçon ! ordonna-t-elle.
Mais Neville s’éleva dans les airs comme un bouchon de champagne. Harry vit son visage se décomposer tandis qu’il regardait le sol s’éloigner. Il glissa du balai et…
Page 11 : Les mésaventures de Neville.
BAM ! Neville se retrouva face contre terre, le nez dans le gazon. Son balai continua de s’élever de plus en plus haut avant de disparaitre à l’horizon. Mme Bibine se pencha sur Neville et comprit que son poignet était cassé, elle ordonna à tout le monde de rester tranquille pendant qu’elle accompagnait Neville à l’infirmerie :
– Et vous laissez les balais par terre, sinon, je vous garantis que vous ne resterez pas longtemps à Poudlard.
Dès qu’ils se furent suffisamment éloignés, Malefoy se moqua de Neville. Il se précipita soudain à l’endroit où Neville était tombé et ramassa quelque chose dans l’herbe puis montra le Rapeltout qui étincelait dans sa main.
Page 12 : Malefoy défie Harry.
– Donne-moi ça, Malefoy, lança Harry d’une voix très calme.
Tout le monde cessa de parler pour regarder la suite des événements. Malefoy eut un sourire mauvais.
– Je vais le laisser quelque part pour que ce pauvre Neville puisse le retrouver. Au sommet d’un arbre, par exemple.
Il mit Harry au défi de venir le chercher en s’élançant dans les airs avec son balai. Malefoy n’avait pas menti en disant qu’il savait voler.
– Si tu y tiens tellement, viens le chercher, Potter, cria-t-il en volant autour de la cime d’un chêne.
Harry empoigna son balai.
Page 13 : Premier vol …
– Non ! cria Hermione Granger. Madame Bibine nous a dit de ne pas bouger. Tu vas nous attirer des ennuis.
Harry enfourcha le balai, donna un grand coup de pied par terre et s’éleva à toute vitesse. Il ressentit une joie intense en découvrant soudain qu’il savait faire voler un balai sans avoir eu besoin d’apprendre. C’était quelque chose qui lui paraissait très naturel, très facile, et qui lui donnait une sensation merveilleuse.

Page 14 : Duel dans les airs.
Il se mit face à Malefoy et lui redemanda de lui rendre le Rapeltout en se montrant plus menaçant. Malefoy essayait d’avoir l’air méprisant mais semblait plutôt inquiet. D’instinct, Harry savait parfaitement ce qu’il fallait
faire. Il se pencha en avant, serra les mains sur le manche et son balai fonça sur Malefoy comme un javelot. Malefoy parvint de justesse à éviter Harry qui prit un virage en épingle à cheveux et fondit à nouveau sur son
adversaire. En bas, des élèves applaudirent.
Page 15 : Jolie récupération.
Harry lui demanda ce qu’il allait faire maintenant qu’il était seul sans Crabbe et Goyle. Malefoy leva le bras et lança la boule de verre le plus haut possible avant de rejoindre le sol. Harry se pencha aussitôt en avant, abaissa le manche à balai et poursuivit la boule en fonçant vers le sol. Des cris se mêlaient au sifflement du vent dans ses oreilles, tandis qu’il fendait l’air à une vitesse vertigineuse. Soudain, il tendit la main et réussit à attraper la boule à une cinquantaine de centimètres du sol, juste à temps pour pouvoir redresser le manche de son balai et atterrir en douceur sur la pelouse, en tenant le Rapeltout au creux de son poing.

lundi:

Page 16 : McGonagall dans tous ses états.
– HARRY POTTER !
Cette fois, ce fut son coeur qui sembla plonger dans sa poitrine à la même vitesse que le balai. Le professeur McGonagall courait vers lui. Harry se releva, les jambes tremblantes. Elle était en état de choc qu’elle n’arrivait presque plus à parler. Elle ordonna à Harry de la suivre. Harry aperçut Malefoy, Crabbe et Goyle qui arboraient un air triomphant en le regardant partir sur les talons du professeur McGonagall.
Page 17: A travers Poudlard.
Harry savait qu’il allait être renvoyé. Il monta les marches de pierre, puis l’escalier de marbre. Le professeur McGonagall ne disait toujours rien. Elle ouvrait les portes à la volée et arpentait les couloirs, Harry sur ses talons. Harry réfléchissait et pensait à Hagrid qui s’était fait renvoyé, lui aussi. Il se demandait s’il serait autorisé à devenir son assistant au lieu de retourner chez les Dursley.
Page 18 : Du bois ?
Le professeur McGonagall s’arrêta devant la classe du professeur Flitwick, frappa à la porte et demanda si elle pouvait lui emprunter du bois. Du bois? Avait-elle l’intention de lui donner des coups de bâton ? se demanda Harry, déconcerté. Mais Dubois était en fait un élève de cinquième année,
un garçon solide qui avait l’air très étonné d’être ainsi arraché à son cours. McGonagall les emmena dans une salle de classe vide et, après avoir chassé Peeves écrivait des bêtises au tableau, elle se planta devant les
deux garçons.
Page 19 : Je vous ai trouvé un attrapeur.
– Potter, je vous présente Olivier Dubois. Dubois, je vous ai trouvé un attrapeur.
L’expression de Dubois, le capitaine de l’équipe de Quidditch de
Gryffondor, passa de la surprise au ravissement.
– Vous parlez sérieusement, professeur ?
– Très sérieusement, répliqua sèchement le professeur McGonagall. Ce garçon a un don. Je n’ai jamais rien vu de semblable. C’était la première fois que vous montiez sur un balai, Potter ?
Harry approuva d’un signe de tête. Il n’avait pas la moindre idée de ce qui se passait, mais il fut soulagé de comprendre qu’il ne serait pas exclu.
Page 20 : Fier.
– Il a attrapé cette boule de verre après une descente en piqué de quinze mètres, dit le professeur McGonagall. Et il s’en est tiré sans la moindre égratignure. Même Charlie Weasley n’aurait pas été capable d’en faire autant.
Dubois avait à présent la tête de quelqu’un dont le rêve le plus cher vient de se réaliser. Le professeur McGonagall expliqua qu’elle irait voir le professeur Dumbledore pour lui demander de faire une entorse au
règlement et fournir un balai à un élève de première année. Puis elle eut soudain un sourire.
– Votre père aurait été fier de vous, ajouta-t-elle. Lui aussi était un excellent joueur de Quidditch.
Harry allait donc commencer l’entrainement la semaine suivante mais Dubois tenait que ça reste secret pour tout le monde.

mardi

Page 21 : Une équipe formidable.
A l’heure du diner, Ron n’en revenait pas, Harry était le plus jeune attrapeur depuis un siècle. Fred et George Weasley se précipitèrent sur Harry.
– Bravo, dit George à voix basse. Dubois nous a raconté. Nous aussi, on est dans l’équipe. Comme batteurs.
– Cette année, on gagne la coupe, c’est sûr, dit Fred. On n’avait plus jamais gagné depuis le départ de Charlie, mais cette fois, on a une équipe formidable. Tu dois être vraiment très bon, Harry ! Dubois en sautait de joie.
Page 22 : Nouvelle provocation.
Malefoy qui pensait toujours qu’Harry allait se faire renvoyer, vint se moquer de lui à la table des Gryffondor avec Crabbe et Goyle. Harry lui dit qu’il faisait moins le fier quand ses petits copains n’étaient pas là avec lui
dans les airs. Malefoy le provoqua en duel de sorcier le soir même à minuit dans la salle des trophées et Harry accepta.
Lorsque Malefoy et ses amis furent partis, Hermione s’adressa à Harry :
– J’ai entendu ce que vous vous disiez avec Malefoy. Il n’est pas question que vous vous promeniez la nuit dans le château. Vous avez pensé aux points que vous ferez perdre aux Gryffondor si jamais vous êtes pris ? Et vous serez forcément pris. C’est vraiment très égoïste de votre part.
Page 23 : Il est bientôt l’heure.
Harry et Ron ne firent pas attention à elle. Il y avait de grands risques qu’ils se fassent prendre par Rusard ou Miss Teigne et Harry pensa qu’il tentait un peu trop la chance, mais il avait enfin l’occasion de pouvoir
battre Malefoy une bonne fois pour toutes.
Le soir, à 11h30, Harry et Ron sortirent de leur dortoir. Hermione les attendait dans la salle commune, elle était bien décidée à ne pas les laisser faire. Mais Harry et Ron se fichaient de ce qu’elle pensait. Hermione
les prévint : « Demain, quand vous serez dans le train parce qu’on vous aura renvoyés, vous vous souviendrez de ce que je vous ai dit. » Lorsqu’elle se tourna vers la Grosse Dame pour retourner dans la salle
commune … elle n’était plus là. Hermione était coincée dans le couloir et bien qu’Harry et Ron étaient contre, elle décida de les suivre.

jeudi

Page 24 : En route.
Alors qu’ils partaient, ils entendirent tous les trois un bruit. Ils pensèrent à Miss Teigne. En réalité c’était Neville Longdubat, il était couché sur le sol, en chien de fusil, et dormait profondément. Il se réveilla en sursaut à leur approche et leur expliqua que ça faisait des heures qu’il attendait là car il avait oublié le nouveau mot de passe « groin de porc ». Mais pour le moment la Grosse Dame était absente. Ron commença à s’impatienter et Neville ne voulait pas rester seul.
Page 25 : A l’aller.
Les quatre Gryffondor commencèrent à parcourir discrètement le château en direction de la salle des trophées. Ils parcoururent des couloirs zébrés de rayons de lune, à chaque tournant, Harry s’attendait à se trouver nez à nez avec Rusard ou Miss Teigne, mais ils eurent de la chance et parvinrent à monter sans encombre au troisième étage où se trouvait la salle des trophées. Malefoy et Crabbe n’étaient pas encore arrivés.
Page 26 : La salle des Trophées.
Au bout de quelques minutes, Ron se demanda s’il ne s’était pas dégonflé lorsqu’un bruit dans la pièce voisine les fit sursauter. Harry brandit sa baguette et ils entendirent une voix, mais ce n’était pas celle de Malefoy.
Rusard parlait à Miss Teigne– Cherche ma belle, cherche bien, ils doivent se cacher dans un coin.. Frappé d’horreur, Harry fit signes aux trois autres de s’enfuir le plus vite possible. Ils parvinrent tout juste à franchir la porte opposée avant que Rusard n’entre dans la salle des trophées. Suivi des trois autres, Harry s’engagea dans une longue galerie où s’alignaient des armures. Ils traversèrent discrètement et rapidement un couloir lorsque Neville trébucha et essaya de se rattraper en saisissant Ron par la taille et tous deux tombèrent en renversant une armure. Le vacarme qui s’ensuivit aurait suffi à réveiller tout le château. Cette fois, ils se mirent à courir pour de bon sans savoir où ils allaient.
Page 27 : Fuite.
Harry avait pris la tête du groupe sans avoir la moindre idée de l’endroit où ils se trouvaient, ni de la direction qu’ils suivaient. Ils passèrent derrière une tapisserie et s’engouffrèrent dans un passage secret qu’ils
parcoururent sans ralentir l’allure. Il s’arrêtèrent pour reprendre leur souffle près de la salle où avaient lieu les cours d’enchantements et qui était située à des kilomètres de la salle des trophées.
– Malefoy t’a tendu un piège, dit Hermione à Harry, j’espère que tu t’en rends compte. Il n’avait pas la moindre intention d’aller au rendez-vous. Mais il a dû dire à Rusard que quelqu’un s’apprêtait à entrer dans la salle des trophées.

 

vendredi

Page 28 : Encore Peeves!
Harry pensa qu’elle avait sans doute raison, mais il n’allait certainement pas le reconnaître. Et alors qu’ils pensaient avoir semé Rusard, ils croisèrent Peeves qui ne se gêna pas pour hurler :
– ÉLÈVES HORS DU DORTOIR ! ÉLÈVES HORS DU DORTOIR DANS LE COULOIR DES ENCHANTEMENTS !
Ils se baissèrent pour passer sous l’esprit frappeur et coururent à toutes jambes jusqu’au bout du couloir où ils tombèrent sur une porte verrouillée. Peeves était toujours en train d’hurler et ils entendaient les pas de Rusard qui se dirigeait dans sa direction. Hermione sortit sa baguette magique et la pointa vers la serrure en disant : « Alohomora ». La porte se déverrouilla et les quatre se précipitèrent à l’intérieur en refermant la porte derrière eux. Rusard arriva dans le couloir et essaya de négocier avec Peeves pour savoir où étaient les élèves mais celui-ci se contenta de se moquer du vieux concierge avant de se volatiser.
Ils collèrent l’oreille contre le panneau pour écouter ce qui se passait.
– Où sont-ils allés, Peeves ? demandait Rusard. Vite, dis-moi.
– On dit : où sont-ils allés s’il te plaît, quand on est poli.
– Ça suffit, Peeves, ce n’est pas le moment de faire l’idiot. Par où sont-ils partis ?
– Je dirai quelque chose quand on me dira s’il te plaît, chantonna Peeves de son ton le plus exaspérant.
– Bon, d’accord. S’il te plaît.
– QUELQUE CHOSE ! Ha ! Ha ! Ha ! Je vous avais prévenu. Je dirai « quelque chose » quand on me dira s’il te plaît ! Ha ! Ha ! Ha !
Peeves prenait la fuite tandis que Rusard lançait des jurons furieux.
Page 29 : Mauvaise porte.
Harry se sentait soulagé. Il se retourna car Neville le tirait par la manche depuis un bon moment. Pendant un instant, il se demanda s’il ne faisait pas un cauchemar. Avec tout ce qui venait de se passer, c’en était trop !
Car ils ne se trouvaient pas dans une salle, comme il l’avait cru tout d’abord, mais dans un couloir. Plus précisément, dans le couloir interdit du troisième étage. Et à présent, ils comprenaient pourquoi l’endroit était interdit.
Face à eux se trouvait un énorme chien à trois têtes qui n’allait pas tarder à leur bondir dessus. L’animal avait trois têtes : trois paires d’yeux étincelant d’une lueur démente, trois museaux qui les flairaient en frémissant avec avidité et trois gueules bavantes hérissées d’énormes crocs jaunâtres d’où pendaient des filets de salive épais comme des cordes. Entre Rusard et la mort, ils choisirent à l’unanimité Rusard. Ils sortirent à
reculons.
Page 30 : Retour à la salle commune.
Ils claquèrent la porte et se mirent à courir le long du couloir à à une telle vitesse qu’ils avaient presque l’impression de voler. Rusard n’était plus là. Ils ne s’arrêtèrent de courir que lorsqu’ils furent revenus devant le portrait de la grosse dame, au septième étage. A peine entrés dans la salle commune, ils se laissèrent tomber dans les fauteuils. Ils restèrent un long moment silencieux. Neville avait l’air d’avoir perdu à tout jamais l’usage de la parole. Ils avaient du mal à réaliser ce qu’ils venaient de vivre. Ron se demandait pourquoi il y avait un tel monstre dans le château et Hermione lui fit remarquer que le chien gardait quelque chose. Elle leur dit qu’elle avait vue une trappe sous les pattes du chien à trois têtes, qu’il avait évidemment été mis là pour garder quelque chose.
Page 31 : Harry se pose de nouvelles questions.
– J’espère que vous êtes contents de vous. On aurait pu se faire tuer, ou pire, être renvoyés. Et maintenant, si ça ne vous dérange pas, je vais me coucher.
Ron la regarda partir, bouche bée. Harry, lui, remonta dans le dortoir en pensant à ce qu’avait dit Hermione. Le chien était là pour garder quelque chose. Qu’avait dit Hagrid, déjà ? Que Gringotts était le meilleur endroit
pour cacher un objet – en dehors de Poudlard, peut-être. Apparemment, Harry avait découvert où se trouvait désormais le petit paquet enveloppé de papier kraft que Hagrid était allé chercher dans la chambre forte
numéro 713.
Page 32 : A suivre …

 

chapitre 9 en images Le roi Gryffondor:

lecture adaptée pour des CP:

 

​​

dictée CE2 CM1 CM2 résumé chap 9:

​ Aujourd’hui, les élèves vont participer à leur premier cours de vol sur balai. Tous sont anxieux et ont peur de se ridiculiser. Le professeur accompagne un élève blessé à l’infirmerie. Afin d’empêcher Drago de jouer un mauvais tour, Harry est forcé d’enfourcher son balai. Il s’avère être très doué et son vol est spectaculaire mais un professeur le voit et le convoque dans son bureau. Harry pense être renvoyé.

Énervés qu’Harry soit dans l’équipe de Quidditch, Drago et ses amis lui proposent un duel à minuit dans la salle des trophées. Harry accepte mais se rend compte que ce rendez-vous est un piège. Lui et ses amis échappent de justesse au concierge en se réfugiant dans une pièce. La pièce est occupée par un énorme chien à trois têtes gardant une trappe. Le paquet mystérieux est certainement dessous.

 

 

littérature/histoire: potions, poisons et remèdes chap8 T1

 

 

 

 

« Rogue demanda à Harry où il irait pour trouver un bézoard mais Harry ne savait même pas ce que c’était. »

 

 

 

 

 


Avant les pharmacies et les pharmaciens, il y avait les apothicaires.

 

06/02: Vous vous demandez pourquoi il y a une croix verte pour repérer les pharmacies:

La croix verte est un symbole universel de la médecine, de la guérison et de l’espoir. La couleur verte représente l’origine végétale de nombreux médicaments, et la croix représente la guérison.

 

lien mesure de contenances

littérature/histoire: Mathilda de Roald Dahl lien chap8 T1

Rusard, le concierge dans la saga Harry Potter:

 

un cachot: Cellule de prison étroite, basse et obscure où l’on enfermait les criminels ou les condamnés à mort.

 

Château de Loches : une prison royale effrayante - L'Histoire Sympa

On appelait « oubliettes » les cachots qui se trouvaient dans les châteaux-forts où l’on mettait les prisonniers. Jeter ou mettre aux oubliettes est une expression du XIVème siècle qui signifie oublier, mettre de côté volontairement.

31/01 Lilou dit que dans Matilda, la directrice de l’école met les élèves dans l’Etouffoir: un placard haut et étroit.

Roald Dahl est britannique et a écrit de nombreux romans connus qui ont inspiré des films. Ainsi si vous avez la possibilité, je vous conseille de lire ou relire Mathilda mais aussi Charlie et la chocolaterie, ou le Bon Gros Géant….

quelques extraits de Matilda:

lien bibliothèque:

A trois ans, Matilda avait appris toute seule à lire en s’exerçant avec les journaux et les magazines qui traînaient à la maison. A quatre ans, elle lisait couramment et, tout naturellement, se mit à rêver de livres. Le seul disponible dans ce foyer de haute culture, La cuisine pour tous, appartenait à sa mère et, lorsqu’elle l’eut épluché de la première page à la dernière et appris toutes les recettes par cœur, elle décida de se lancer dans des lectures plus intéressantes.

– Papa, dit-elle, tu crois que tu pourrais m’acheter un livre ?

– Un livre ? dit-il. Qu’est-ce que tu veux faire d’un livre, pétard de sort !

– Le lire, papa.

– Et la télé, ça te suffit pas ? On a une belle télé avec un écran de 56, et toi tu réclames des bouquins ! Tu as tout de l’enfant gâtée, ma fille.


« Mlle Legourdin, la directrice, était d’une autre race: c’était une géante formidable, un monstrueux tyran qui terrorisait également élèves et professeurs. Même à distance, une aura de menace l’enveloppait et, de près, l’on sentait des émanations brûlantes qu’elle dégageait comme une barre de métal chauffée à blanc. Lorsqu’elle fonçait – Mlle Legourdin ne marchait jamais ; elle avançait toujours comme un skieur, à longues enjambées, en balançant les bras –, donc lorsqu’elle fonçait le long d’un couloir, on l’entendait toujours grogner et grommeler, et si un groupe d’enfants se trouvait sur son passage, elle chargeait droit dessus comme un tank, projetant les petits de part et d’autre. Dieu merci, les fléaux de son espèce sont rares en ce bas monde, mais ils existent néanmoins, et tous, nous risquons d’en rencontrer un au cours de notre vie. Si jamais cela vous arrive, réagissez comme vous le feriez devant un rhinocéros enragé dans la brousse : escaladez l’arbre le plus proche et restez-y perché jusqu’à ce que tout danger soit écarté. »

 


« – Jamais je n’ai compris pourquoi les petits enfants étaient si répugnants. Ils m’empoisonnent l’existence. Ils sont comme des insectes. On devrait s’en débarrasser le plus vite possible ; on élimine bien les mouches avec des bombes insecticides et des papiers tue-mouches. J’ai souvent pensé à inventer une bombe pour éliminer les petits. Quelle merveille ce serait de pouvoir circuler dans la classe avec un aérosol géant et d’arroser toute cette vermine ! (…)

– Si c’est une plaisanterie, madame la directrice, je ne la trouve pas drôle, dit Mlle Candy du fond de la classe.

– Ah, vraiment ! Mais ce n’est pas une plaisanterie. Pour moi, l’école parfaite, mademoiselle Candy, est celle où il n’y a pas d’enfants du tout. Un de ces jours, j’en ouvrirai une de ce genre. Je crois que ce sera une grande réussite. »


3/02 Martin B et Haëline disent que Mathilda a des pouvoirs: elle sait déplacer les objets par télékinésie.

6/02 Trouvés pendant le Silence on lit:

 

 

 

 

 

Mlle Legourdin: championne de lancer de marteau aux jeux olympiques

 

 

écriture: formation des lettres en lié : S

 

formation des lettres en lié : I

 Sur une ardoise avec les lettres.

 

formation des lettres en lié : I

 

Une ligne sur ta feuille de « Travail du jour »

 

formation des lettres en lié : I

Deux mots à écrire sur ta feuille de « Travail du jour »
​1 – mot en français:​

 

2 – ​mot en anglais:

 

formation des lettres en lié : I

Sur ta feuille de « Travail du jour ».

Salazar Serpentard construit la Chambre des Secrets au Moyen-âge et introduit un Basilic à l’intérieur. Il cache l’entrée de manière à ce que seul l’héritier de Serpentard puisse y accéder et libérer le Basilic pour tuer les élèves né-moldus de Poudlard.

au fond de la chambre des secrests une immense statue représente Salazar Serpentard.

liens extraits vidéos, persos et lieux + résumé chap8 T1 Le maitre des potions

 

jeudi:

​Page 3 : Des murmures.

Les cours commencèrent dès le lendemain et ce n’était pas une partie de plaisir pour Harry. Il entendait murmurer sur son passage.

– Là, regarde.

– Où ?

– À côté du grand type roux.

– Avec les lunettes ?

– Tu as vu sa cicatrice ?

Des élèves l’attendaient à la porte des salles de classe, se levaient sur la pointe des pieds pour le voir ou revenaient sur leurs pas pour le croiser à nouveau. Harry, pendant ce temps, essayait de trouver son chemin dans le château qui était un véritable labyrinthe.

Page 4 : Poudlard = Labyrinthe.

Il y avait cent-quarante-deux escaliers à Poudlard, des larges, des étroits, des courbes, des carrés, des délabrés, certains avec une ou deux marches escamotables qu’il fallait se souvenir d’enjamber pour ne pas tomber, ou d’autres qui menaient ailleurs le vendredi. Sans parler des portes qui refusaient de s’ouvrir si on ne le leur demandait pas poliment, ou si on ne les chatouillait pas au bon endroit, et d’autres qui n’étaient que des pans de mur déguisés en portes. Il était aussi très difficile de se souvenir où les choses se trouvaient car tout bougeait sans cesse. Les gens représentés sur les tableaux accrochés aux murs passaient leur temps à se rendre visite les uns aux autres et Harry était persuadé que les armures se promenaient parfois dans les couloirs.

Page 5 : Les Fantômes et … Peeves.

Quant aux fantômes, ils ne facilitaient pas la tâche. Nick Quasi-Sans-Tête était toujours heureux d’aider les nouveaux de Gryffondor à trouver leur chemin, mais Peeves était pire que deux portes verrouillées et un faux escalier : il bombardait les nouveaux de morceaux de craie, tirait les tapis sous leurs pieds, renversait des corbeilles à papier sur leur tête …

Page 6 : Harry, Ron et le concierge.

Dès le premier jour, Harry et Ron réussirent à se mettre à dos le concierge, Argus Rusard. Il les avait surpris alors qu’ils essayaient d’ouvrir une porte qui, par malchance, s’était révélée être l’entrée du couloir interdit du troisième étage. Il avait refusé de les croire lorsqu’ils lui avaient expliqué qu’ils s’étaient perdus. Rusard avait une chatte qui s’appelait Miss Teigne créature grisâtre et décharnée avec des yeux globuleux qui brillaient comme des lampes, à l’image de ceux de son maître. Dès qu’elle voyait la moindre faute commise par un élève, elle filait prévenir son maître qui connaissait tous les passages secrets de l’école et apparaissait aussi soudainement que l’un des fantômes en soufflant comme un bœuf.

 

vendredi:

Page 7 : Les cours.

Puis, lorsqu’on avait enfin réussi à trouver la salle de classe, il fallait arriver à suivre les cours : l’exercice de la magie ne consistait pas seulement à brandir une baguette magique en marmonnant quelques paroles un peu bizarres.

Ainsi donc Harry commença à étudier : chaque mercredi soir, ils observaient le ciel au télescope et apprenaient les noms des étoiles ainsi que le mouvement des planètes. Trois fois par semaine, ils étudiaient les plantes et les champignons étranges dans les serres situées à l’arrière du château, sous la direction du professeur Chourave. Les cours les plus ennuyeux étaient ceux d’histoire de la magie qui était enseignée par le seul professeur fantôme du collège, le professeur Binns* Alors qu’il était déjà très vieux, le professeur Binns s’était endormi devant la cheminée de la salle des professeurs et quand il s’était levé le lendemain matin pour aller faire sa classe, il avait laissé son corps derrière lui.* Flitwick, le professeur d’enchantements, était un minuscule sorcier qui devait monter sur une pile de livres pour voir par-dessus son bureau. Au début de leur premier cours, pendant qu’il faisait l’appel, il poussa un petit cri aigu en voyant le nom de Harry et tomba à la renverse. Le professeur McGonagall était stricte, intelligente et leur parla très directement dès le début du premier cours.

– Quiconque fera du chahut pendant mes cours sera immédiatement renvoyé avec interdiction de revenir.

Elle avait changé son bureau en cochon puis lui avait redonné sa forme d’origine. La démonstration était impressionnante et les élèves avaient hâte de commencer les cours, mais ils s’étaient vite rendu compte qu’ils n’étaient pas près d’en faire autant. Après des explications compliquées, ils avaient commencé à s’exercer en essayant de changer une allumette en aiguille, mais seule Hermione Granger avait obtenu un résultat.

Les cours de Défense Contre les Forces du Mal tournaient à la farce, le professeur Quirrell n’avait pas l’air très doué en la matière. La salle de classe était imprégnée d’une forte odeur d’ail destiné à éloigner le vampire que le professeur avait rencontré en Roumanie et qu’il craignait de voir arriver un jour à Poudlard. Son turban dégageait la même odeur que la salle de classe, ce qui avait fait dire aux jumeaux Weasley que le professeur l’avait rempli d’ail pour se protéger en permanence des vampires. Le professeur avait expliqué que son turban lui avait été offert par un prince africain pour le remercier de l’avoir débarrassé d’un zombie, mais son histoire sonnait faux, incapable qu’il était de raconter comment il avait combattu le zombie.

Page 8 : La magie, pas si simple.

Harry constata avec un grand soulagement qu’il n’avait guère de retard sur ses camarades : nombre d’entre eux avaient également été élevés dans des familles de Moldus sans se douter qu’ils appartenaient au monde de la magie. Il y avait tant de choses à apprendre que même quelqu’un comme Ron ne tirait pas grand avantage de son appartenance à une vieille famille de sorciers.

lundi

Page 9 : Courrier.
Le vendredi, Harry et Ron avaient trouvé tout seuls le chemin de la Grande Salle où était servi le petit déjeuner. Le courrier arriva. Harry s’était habitué à voir entrer chaque matin dans la Grande Salle, au moment du petit déjeuner, une centaine de hiboux qui tournoyaient au-dessus des tables en laissant tomber lettres et paquets sur les genoux de leur propriétaire. Jusqu’à présent, Hedwige n’avait rien apporté à Harry. Parfois,
elle venait le voir pour lui mordiller l’oreille et grignoter un morceau de toast avant de retourner dans la volière réservée aux hiboux. Ce matin-là, cependant, elle déposa une lettre dans l’assiette de Harry. C’était un courrier de la part d’Hagrid qui l’invitait à venir prendre le thé chez lui en fin de journée.

Cher Harry,

Je sais que tu es libre le vendredi après-midi. Est-ce que tu aurais envie de venir prendre une tasse de thé avec moi aux alentours de trois heures ? Je voudrais bien savoir comment s’est passée ta première semaine.
Réponds-moi en m’envoyant Hedwige.

Hagrid

Harry confia sa réponse à Hedwige qui l’emporta vers son destinataire.
Page 10 : Directeurs de Maison.
A Poudlard, chaque maison avait son directeur. La directrice des Gryffondor était le professeur McGonagall, celui des Serdaigle était le professeur Flitwick, pour les Poufsouffle c’était le professeur Chourave et celui des Serpentard était le professeur Rogue.
Page 11 : Dans les cachots.
Ce matin-là, Harry avait un cours commun de potions magiques avec les Serpentard, dans l’un des cachots. Il y faisait plus froid que dans le reste du château et les animaux qui flottaient dans des bocaux de formol
alignés le long des murs rendaient l’endroit encore plus effrayant. Le professeur Rogue commença par faire l’appel. Lorsqu’il fut arrivé au nom de Harry, il marqua une pause.
– Ah oui, dit-il. Harry Potter. Notre nouvelle… célébrité.
Il finit de faire l’appel et fit un discours sur l’art des potions magiques d’un ton condescendant et méprisant.
– Vous êtes ici pour apprendre la science subtile et l’art rigoureux de la préparation des potions.

Page 12 : Rogue interroge Harry.
Soudain, il interpella Harry et lui demanda ce qu’il obtiendrait s’il ajoutait de la racine d’asphodèle en poudre à une infusion d’armoise. Harry n’en savait rien. La main d’Hermione s’était levée à la vitesse d’un boulet de canon, mais Rogue l’ignora. A côté, Malefoy, Crabbe et Goyle étaient secoués d’un fou rire. Rogue demanda à Harry ensuite où il irait pour trouver un bézoard mais Harry ne savait même pas ce que c’était. Harry se
força à ne pas baisser les yeux devant le regard glacé du professeur, il avait bien ouvert ses livres quand il était encore chez les Dursley, mais le professeur ne pouvait pas exiger de lui qu’il ait retenu tout ce que contenait le manuel.
Page 13 : Autre question.
Rogue ne faisait toujours pas attention à la main frémissante d’Hermione. Le professeur Rogue tenta une nouvelle fois en lui demandant la différence entre le napel et le tue-loup. Cette fois, Hermione se leva, la main toujours tendue au-dessus de sa tête.
– Je ne sais pas, répondit Harry avec calme. Mais je crois qu’Hermione le sait. Vous aurez peut-être plus de chance avec elle.
Il y eut quelques rires et Seamus fit un clin d’œil à Harry. Rogue, en revanche, n’avait pas l’air content.
Page 14 : Réponses.
Il expliqua que le mélange d’asphodèle et d’armoise donnait un somnifère très puissant qu’on appelait la Goutte du Mort vivant. Un bézoard était un caillou qui se trouvait dans l’estomac d’une chèvre, constituant un antidote à la plupart des poisons. Et enfin, en ce qui concernait le napel et le tue- loup, c’était la même plante aussi connu sous le nom d’aconit. Les élèves prirent notes de tout ce qu’il venait de dire.
– Et votre impertinence coûtera un point à Gryffondor, Potter, ajouta Rogue.

mardi
Page 15 : Accident et injustice.
Plus tard, alors que tout le monde travaillait sur la préparation d’une potion pour soigner les furoncles, Neville s’était débrouillé pour faire fondre le chaudron de Seamus et leur potion se répandait sur le carrelage en rongeant les chaussures des élèves. Neville se retrouva à l’infirmerie après avoir été aspergé de potion. Rogue reprocha à Harry de ne pas l’avoir aidé à faire sa potion correctement ce qui coûta encore un point en moins à Gryffondor. A la fin du cours, Harry remuait de sombres pensées et son moral était au plus bas. Il avait fait perdre deux points à Gryffondor dès la première semaine. Pourquoi Rogue le haïssait-il ainsi ?
– Ne t’en fais pas, dit Ron. Rogue enlevait aussi des points à Gryffondor à cause de Fred et George.

Page 16 : Rdv avec Hagrid.
Après les cours, Harry et Ron allèrent chez Hagrid qui habitait à côté de la Forêt Interdite. Hagrid avait un chien qui s’appelait Crockdur, il bondit aussitôt sur Ron et entreprit de lui lécher consciencieusement les oreilles.
Page 17 : Discussion.
Harry lui raconta sa semaine de cours et lui parla de ce qui s’était passé avec le professeur Rogue. Hagrid lui fit la même réponse que Ron : il ne fallait pas y prêter attention, Rogue n’avait jamais aimé grand monde parmi ses élèves. Harry remarqua qu’Hagrid avait détourné les yeux en en disant cela.
Page 18 : L’article de la Gazette.
Pendant qu’Hagrid prenait des nouvelles de Charlie Weasley auprès de Ron.
– Je l’aimais beaucoup. Il savait très bien s’y prendre avec les animaux.
Harry en profita pour lire la Gazette du Sorcier qui était sur la table :
« LE CAMBRIOLAGE DE GRINGOTTS »
L’enquête sur le cambriolage qui s’est produit le 31 juillet dans les locaux de la banque Gringotts se poursuit. La piste suivie par les enquêteurs devrait les mener dans les milieux de la magie noire. Les gobelins de Gringotts ont répété que rien n’avait été volé. La chambre forte fracturée avait en effet été vidée le même jour.
« Mais nous ne vous révélerons pas ce qu’elle contenait et, dans votre propre intérêt, nous vous conseillons vivement de ne pas vous mêler de cette affaire », a déclaré le porte-parole des gobelins.
Page 19 : Vol à Gringotts.
L’article parlait du cambriolage de Gringotts, Harry apprit que ça avait eu lieu le même jour que son anniversaire lorsqu’il avait été cherché son argent ainsi que le mystérieux paquet : Hagrid avait vidé la chambre forte numéro 713, si on pouvait appeler ça vider car il n’avait pris qu’un petit paquet enveloppé de papier kraft. Harry essaya de discuter de Gringotts avec Hagrid, cette fois, il n’y avait vraiment aucun doute : il fuyait le regard de Harry.
Page 20 : Retour au château.
Lorsqu’il revint au château avec Ron, Harry estima qu’aucun des cours qu’il avait suivis suivis jusqu’à présent ne lui avait donné autant à penser que cette visite chez Hagrid. Harry se demandait si les cambrioleurs n’avait pas voulu dérober ce paquet qu’Hagrid avait retiré. Il se posait aussi une autre question : Hagrid avait-il quelque chose à lui cacher au sujet de Rogue et de l’antipathie qu’il lui avait manifestée ?
Page 21 : A suivre …

 

 

lecture adaptée milieu CP

 

dictée CE2 CM1 CM2 résumé chap 8:

Au fil des jours, Harry découvre ses cours et ses enseignants. Un de ses professeurs est un fantôme tandis qu’un autre est minuscule. Les apprentis sorciers étudient l’astronomie, la métamorphose, la botanique et la défense contre les forces du mal. Ils travaillent sans relâche. Harry déteste les cours de potion du professeur Rogue car celui-ci semble le mépriser et le rabaisse à la moindre occasion.

Harry et Ron ont rendu visite à Hagrid dans sa hutte. Ils ont mangé des biscuits très durs et ont bu le thé. Harry a lu la gazette des sorciers : il a appris qu’un cambriolage a eu lieu le jour de son anniversaire à la banque. Le coffre ouvert était vide. Quelqu’un avait récupéré son contenu le jour même. Harry a alors repensé à cette journée et croit qu’il s’agit du coffre contenant le petit paquet vidé par Hagrid.

 

 

 

« Older Entries Recent Entries »