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Louise Attaque, Gaëtan Roussel (Sara et Chloé)

Gaëtan Roussel est auteur-compositeur-interprète et animateur de radio Français, né le 13 octobre 1972 à Rodez, dans Aveyron. Il est le chanteur des groupes Louise attaque et Tarmac.

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Il joue le contrôleur qualité dans le Soldat Rose 3 (le soldat rose à la fabrique de jouets). Voici un extrait de la chanson :

https://www.youtube.com/watch?v=gmz6gUizOGo

 

Robin Feix, né le 24 novembre 1971 à Châtillon-sur-loire (Loiret), est bassiste des groupes de rock Français Louise attaque, All drago  et poney express. De 1990 à 1994, il fait ses débuts dans le groupe Caravage.

Il a fait les illustrations des livres du soldat rose 3:

Arnaud Samuel, est le violoniste des groupes de rock Français Louise attaque et Tarmac.

On a écouté:

Léa: https://www.youtube.com/watch?v=aGJC0KAPeYA&list=PLteUf-NKEGF9YOo5e2hxf5rFfQgAaRnee

Fatigante: https://www.youtube.com/watch?v=-C65D01pRWw

Amours: https://www.youtube.com/watch?v=EakSi91o0l8

Vous avez l’heure: https://www.youtube.com/watch?v=5j8HOAauJ54

Tarmac reprise de Brassens: https://www.youtube.com/watch?v=m-Y7XjWPQfU

album 2016:

Chaque jour reste le nôtre: https://www.youtube.com/watch?v=KWtpnOmIpSg

Avec le temps: https://www.youtube.com/watch?v=5EBwfX_jia8

(on y a repéré le « chat » présent dans les dessins du Soldat Rose à la fabrique de jouet.)

L’insouciance: https://www.youtube.com/watch?v=mBAo9Hf68TM

 

chanson du nouvel album de Gaétan Roussel(2018):

J’entends des voix:

https://www.youtube.com/watch?v=JVRsDilJzNs&list=RDJVRsDilJzNs&start_radio=1

les oiseaux Sara et Satine

la naissance

l’éclosion

Quand l’incubation commence après la ponte de tous les œufs, ceux-ci éclosent à peu près simultanément. Chez les oiseaux nidifuges, les oisillons pourront quitter tous ensemble le nid, ce qui favorisera la surveillance des parents. À l’opposé, si l’incubation commence avant que la ponte soit complète, les jeunes écloront les uns après les autres et il y aura de grandes différences d’âge entre eux. Chez la chouette effraye et d’autres rapaces nocturnes, les œufs sont pondus tous les 2 jours environ et les jeunes éclosent au même intervalle. Les premiers sont très avantagés par rapport au petit dernier car ils ont plus de chances de recevoir une nourriture suffisante ; si les aliments se raréfient, ils n’en souffriront pas mais les autres risqueront de périr d’inanition.

Quelques jours avant sa sortie de l’œuf, l’oisillon change de position et commence à respirer en enfonçant son bec dans la chambre à air située dans le gros bout de l’œuf. Ensuite, le jeune oiseau brise la coquille à l’aide de la protubérance calcaire, le diamant (ou « dent de l’œuf ») qui est située sur la mandibule supérieure du bec et qui tombe quelques jours après l’éclosion chez la plupart des espèces. À ce stade, l’œuf est « bêché », c’est-à-dire que sa coquille est fissurée en plusieurs endroits mais encore complète. Une fois que l’œuf est bêché, c’est-à-dire que la coquille est craquelée, le jeune oiseau appuie la tête contre la partie à demi détachée et les pattes contre le reste de la coquille de sorte que l’œuf s’ouvre. L’éclosion proprement dite est rapide chez la plupart des petits oiseaux mais prend plusieurs heures chez certaines grandes espèces, car la coquille est épaisse. L’effort nécessaire semble considérable et le jeune oiseau doit se reposer fréquemment. Plusieurs heures se passent avant la phase finale, qui dure moins d’une heure. Dès que sa tête est sortie, l’oisillon se dégage rapidement mais, épuisé, il reste couché au fond du nid, enroulé sur lui-même. La plupart des oiseaux chanteurs naissent sans plume, aveugles et totalement sans défense. Le duvet grandit cependant très vite. Après quelques jours, quand les vraies plumes apparaissent, ils commencent à ressembler à leurs parents.

Après l’éclosion, beaucoup espèces commencent par enlever les coquilles d’œufs. Lorsque le nid se trouve en terrain dégagé, cela a une grande importance car la couleur blanche de la face interne de la coquille attire l’attention et révèle la présence du nid aux prédateurs. Les adultes prennent les morceaux de coquille dans leur bec et les transportent à une certaine distance avant de les laisser tomber.

À la naissance les jeunes oiseaux se répartissent en deux catégories : les nidifuges et les nidicoles. Le développement des nidicoles est encore très incomplet au moment de l’éclosion. Ils sont encore nus et aveugles, seul leur tube digestif est parfaitement fonctionnel. Dès qu’ils ressentent une vibration du nid, les oisillons ouvrent largement le bec. Dans cette position, ils attendent d’être nourris. Tant que leur plumage est incomplet, ils doivent être réchauffés par un adulte. Ce dernier les prend sous son aile ou les maintient contre ses plaques incubatrices, zones de peau riches en vaisseaux sanguins situées sous les plumes du ventre. Les Columbidés (tourterelles, pigeons), les rapaces et les passereaux sont typiquement nidicoles.

Le développement des nidifuges, en revanche, est déjà suffisamment avancé, pour leur permettre de quitter le nid quelques heures, ou au plus tard quelques jours, après l’éclosion. Ils recherchent leur nourriture, de façon plus ou moins autonome, sous la protection d’un des parents ou des deux. Les canards et les oies, les gallinacés (poules, perdrix, etc.), les sternes et les limicoles sont typiquement nidifuges.

le nid

Les nids sont de formes et de tailles très différentes. Certains peuvent être excessivement sommaires en particulier ceux des canards qui se contentent d’une simple cuvette creusée dans la terre, car les oisillons peuvent le quitter très rapidement. Par contre pour les oisillons qui naissent nus ou presque, la qualité d’isolation thermique du nid est importante. Rudimentaires ou sophistiqués, les nids doivent donc répondre à des caractéristiques précises en terme de protection contre les intempéries ou contre les prédateurs, en leur dissimulant la portée. Certains nids, comme celui du roitelet huppé, sont très simples, fait d’un petit bol de mousse et de lichen, garni de quelques plumes ; d’autres sont plus élaborés, constituées de petites sphères recouvertes de lichen pour la mésange à longue queue par exemple. Les oiseaux de petite taille vont essayer de bien camoufler leur nid, pour le mettre à l’abri des rats, des souris ou d’oiseaux, comme les geais et les pies qui pillent les œufs. Beaucoup d’oiseaux de taille supérieure, comme la corneille noire, construisent leur nid avec des petites branches et ils seront visibles au sommet d’un arbre. Mais tous ont un point commun : le but est de mettre les œufs hors de danger et de les garder bien au chaud pour que les parents puissent couver le temps nécessaire et ensuite élever les jeunes.

En général le choix du site de nidification et la construction du nid sont l’affaire de la femelle, mais elle peut être aidée par le mâle. Le troglodyte mâle est une exception, puisque c’est lui qui fait la majeure partie du nid. Par contre, chez les espèces qui nichent dans une cavité (mésange, étourneau, gobe-mouches noir et rouge-queue à front blanc), c’est le mâle qui choisit le lieu, mais on ignore comment s’opère cette sélection. Il arrive aussi quelquefois que des oiseaux commencent plusieurs nids à la fois, notamment quand ils sont en présence de sites artificiels.

La construction du nid exige beaucoup de temps et d’énergie et dure plus longtemps au début du printemps, car le travail est souvent arrêté par le retour du froid. Travaillant plusieurs heures par jour, les pics mettent parfois un mois ou plus pour creuser leur nichoir dans le bois. Il faut trois semaines aux grives pour achever le leur, mais les fringilles mettent seulement huit à dix jours. Les grands rapaces diurnes ajoutent chaque année quelques branches à l’un des nids qu’ils utilisent à tour de rôle et celui-ci finit par devenir très volumineux. Des migrateurs comme le pinson du Nord et la Rousserolle verderolle peuvent s’accoupler dans les heures qui suivent leur arrivée sur les lieux de reproduction et se mettre à construire le nid peu après, de sorte qu’ils l’achèvent en quelques jours. Chez l’hirondelle de fenêtre la construction dure généralement une dizaine de jours quand le temps est favorable, c’est-à-dire ni trop sec ni trop pluvieux.

la ponte

Le nombre d’œufs peut varier énormément, allant de l’œuf unique, c’est le cas pour beaucoup d’oiseaux marins, à deux douzaines et plus pour les variétés d’oiseaux telles que les faisans. Les oiseaux de jardin pondent en général de 3 à 5 œufs (hirondelle, grive draine) jusqu’à une douzaine (mésange bleue). Les femelles des petits oiseaux pondent la plupart du temps un œuf par jour. Les œufs sont pondus souvent dès le début de journée, avant que la femelle ne quitte le nid. Ainsi elle n’est pas trop chargée pour le reste de la journée. L’œuf suivant se développera progressivement au cours de la journée et sera formé à la fin de la nuit. Chez certaines grandes espèces, l’intervalle de ponte entre deux œufs est plus long : environ 36 heures chez la bernache du Canada et 48 heures chez les cygnes, 3 ou 4 chez l’aigle royal, qui pond seulement deux œufs. Le Martinet noir, qui dépend entièrement de la présence d’insectes volants, pond lui aussi tous les deux jours et si la nourriture se fait rare par suite du mauvais temps, il peut pondre tous les trois jours seulement.

La femelle ne commencera réellement à couver à partir du moment où elle aura fini de pondre tous ses œufs. Ainsi tous les poussins viendront au monde quasiment en même temps, même si les œufs ont été pondus à des jours différents.

D’une manière générale, on peut dire que les petits oiseaux peuvent avoir dans une saison de reproduction plus de couvées que les espèces plus grosses. Chez ces dernières, l’incubation et le nourrissage des jeunes est bien plus long, ce qui limite souvent les oiseaux à avoir une seule couvée par an.

Certains oiseaux ne sont pas satisfaits avec une couvée par saison. Aussi longtemps que les conditions climatiques le permettent et après l’envol des jeunes de la première couvée, de nombreuses espèces vont avoir de nouveau une, voire plusieurs autres couvées. Les moineaux domestiques élèvent en général trois à quatre nichées par an et le merle jusqu’à cinq. La femelle du merle peut déjà pondre pendant que son partenaire nourrit encore la précédente couvée.

Le nombre d’œufs pondus peut quelquefois varier fortement au sein d’une espèce. Des conditions locales sont susceptibles d’influer sur le nombre de petits que les adultes peuvent élever. Certaines espèces comme le Rouge-gorge ont des pontes plus importantes dans le nord de l’Europe que dans le sud, parce que la période d’éclairement y est plus longue et parce que la nourriture y est plus abondante au milieu de l’été. Les oiseaux qui vivent dans un milieu pauvre pondent moins d’œufs que ceux qui vivent dans un habitat plus favorable. Dans les jardins, les pontes de mésanges sont plus faibles que dans les bois où les adultes trouvent plus de chenilles pour nourrir leurs petits.

Le nombre d’œufs peut également varier chez une même femelle au cours d’une même année ou au cours de son existence. Les femelles qui nichent pour la première fois ont moins d’œufs que celles qui se sont déjà reproduites. Les merles qui ont plusieurs couvées durant l’année ont des portées moins importantes au début et à la fin de la saison de reproduction, car les proies, chenille et vers, dont l’oiseau nourrit ses petits sont en quantité moins importante qu’en pleine saison. La chouette hulotte est capable de ne pas nicher les années où les micromammifères dont elle se nourrit sont rares. De même, la Chouette de l’Oural réagit à la pénurie de petits rongeurs en nichant plus tardivement, en pondant moins d’œufs et en capturant davantage d’oiseaux.

La fécondité des oiseaux semble dépendre, au moins en partie, des risques encourus par leur progéniture. En effet, les espèces les plus prolifiques sont souvent celles qui subissent les pertes les plus lourdes. Ainsi les espèces dont les œufs ou les jeunes sont fréquemment détruits compensent cette mortalité en pondant chaque année deux ou trois fois, parfois même plus. C’est le cas d’espèce comme le merle noir ou le moineau domestique. À l’opposé, les grands rapaces comme l’Aigle royal, dont les œufs et les jeunes courent moins de dangers, ne pondent au maximum que deux (ou trois) œufs une seule fois par an.

l’incubation

Les oiseaux ne peuvent pas transmettre directement la chaleur de leur corps aux œufs car leurs plumes forment une couche isolante très efficace. Peu après la ponte, la femelle, mais aussi parfois aussi le mâle, perd donc des plumes pectorales. Cette mue dégage une ou plusieurs plaques incubatrices. Ces zones de peau nue, richement vascularisées, seront mises en contact avec les œufs et faciliteront le transfert de la chaleur. Les plaques incubatrices ne sont présentes qu’en période de reproduction excepté chez les pigeons et les tourterelles, qui arborent une zone pectorale assez dénudée tout au long de l’année.

L’incubation ne commence pas toujours juste après la ponte du premier œuf. La femelle peut très bien se tenir sur les œufs mais sans les réchauffer vraiment, car pour couver, l’oiseau écarte les plumes de façon à dégager la plaque incubatrice. Lorsque l’oiseau couve, il se lève de temps en temps et déplace les œufs avec son bec, ce qui facilite la respiration des embryons, car l’air traverse la coquille. Cela garantit que tous les embryons reçoivent la même quantité de chaleur.

Chez la plupart des oiseaux des jardins, c’est la femelle qui couve, mais cette tâche peut être partagée par le couple comme chez les étourneaux, voire même principalement par le mâle comme chez les pics. Les martinets, eux, se relaient presque toutes les deux heures. L’oiseau couveur interrompt l’incubation pour aller manger, éliminer des fientes ou faire un brin de toilette.

Chez la plupart des espèces, l’œuf est très sensible au froid quand l’incubation a commencé et l’embryon meurt s’il est exposé trop longtemps à une basse température. Cependant, les œufs de quelques espèces résistent bien au froid ; il s’agit de ceux des puffins, pétrels tempête et martinets. Les adultes de ces oiseaux ont du mal à se nourrir par mauvais temps ; obligés de partir à grande distance pour se ravitailler, ils laissent leurs œufs sans protection. De même, les tempêtes empêchent les oiseaux de mer de manger. Cette adaptation s’est développée car les conditions défavorables surviennent assez souvent.

En Europe, l’incubation la plus longue a été observée chez le gypaète barbu (en captivité : 55-60 jours), mais chez le vautour fauve, le fulmar et le puffin cendré elle atteint 54 jours.

Les oiseaux domestiques

les oiseaux domestiques sont ceux qui vivent dans une cage, sur un perchoir , etc.

En voici quelques sortes :

le diamant mandarin :

Robuste et vif, le diamant mandarin est un oiseau grégaire qui se reproduit à la vitesse de la lumière en captivité. Peu bruyant et ne nécessitant pas d’attention particulière, bien sur il faut quand même le nourrir.

le canari :

Réputé pour son plumage jaune vif et son don pour le chant, le canari est l’oiseau domestique par excellence. C’est un oiseau facile à vivre qui apprécie la compagnie de ses congénères et autres petits oiseaux pacifiques tels que le mandarin. Contrairement aux idées reçues le canari n’est pas exclusivement jaune, son plumage se décline dans toutes les nuances de rouge, orange, jaune et même blanc !

le diamant de gould :

De la famille des pinsons, le diamant de Gould se distingue par ses couleurs éclatantes qui en font un oiseau très recherché. Bien que populaire en captivité, c’est une espèce en danger à l’état sauvage : on en récence moins de 2500 en liberté. Le diamant de Gould est un oiseau très fragile, sensible au stress.

le mainate religieux :

Si le mainate religieux n’a pas la chance d’avoir un plumage chatoyant, il est cependant très doué quand il s’agit de s’exprimer ! Imitateur imbattable de son, le mainate religieux saura reproduire à la perfection votre sonnerie de téléphone, le miaulement de votre chat, des grincements et poussera même la chansonnette.

 l’inséparable :

L’inséparable est un petit perroquet trapu et plein de vie qui provient d’Afrique. C’est un oiseau très amusant, joueur, curieux et plein de gaité qui apportera beaucoup de joie.  Contrairement à la croyance, un inséparable peut très bien vivre seul à condition d’avoir un maître très présent. L’inséparable ne parle pas, certains d’entre eux peuvent dire des mots simples tels que « allô » ou « salut », mais il sait toutefois imiter des sons quotidiens de la maison comme le bip du micro-onde et c’est un oiseaux qui peut se montrer très bruyant.

la perruche calopsitte :

La perruche calopsitte, ou cockatiel, fait partie de la famille des cacatoès et est très répandue en tant qu’oiseau domestique : plus de 50% des propriétaires d’oiseaux en possèdent. Ce petit perroquet est drôle, très joueur mais aussi très affectueux et adorable, il est très facile à apprivoiser, d’où sa popularité.  La perruche calopsitte est plus encline à siffler qu’à parler bien qu’elle puisse apprendre à prononcer quelques mots simples.

l’amazone :

L’amazone est un perroquet trapu qui se décline en 27 espèces et sous-espèces : amazone à front bleu, à couronne lilas, à ailes orange, à front blanc, à nuque jaune… C’est un perroquet très populaire qui rappelle le perroquet de pirate qui trône sur l’épaule de ce dernier. Le grand nombre d’espèces d’amazone en fait un oiseau très adaptable à chaque personnalité ! Si vous êtes une personne extravertie, l’amazone saura faire preuve d’autant de folie que vous. L’amazone est très démonstratif et exubérant, il est aussi facilement excitable et aimera se pavaner devant vous. C’est également un bon parleur qui peut être très bruyant, surtout quand l’environnement ambiant l’est.

le youyou du sénégal :

Le youyou du sénégal est un magnifique perroquet aux couleurs vives et à la tête grise dont la personnalité est très joueuse, amusante et affectueuse. C’est un excellent oiseau de compagnie. Il requiert une cage suffisamment grande pour lui permettre de jouer les funambules en réalisant des acrobaties de tout genre. Le youyou est capable de se lier très rapidement à son maître, il est très loyale et fidèle mais peut aussi faire preuve de jalousie à l’égard d’autres animaux de compagnie ou de membres de la famille. Il faut donc être prudent et socialiser l’animal dès son plus jeune âge afin d’éviter de créer une dépendance entre le perroquet et le maître. Avec un peu de patience et de persévérance le youyou saura apprendre à parler et le fera de son plein gré.

le gris du gabon :

Avec son plumage gris et sa queue rouge, le gris du gabon est très prisé pour ses facultés intellectuelles, sa sociabilité et son côté bavard. Mais c’est un oiseau difficile qui demande beaucoup de soin : il n’est pas conseillé aux néophytes de débuter par un gris du Gabon. Son incroyable intelligence et sa curiosité lui permettront d’assimiler des tours mais surtout de les comprendre ! C’est, avec les amazones, un bon orateur qui peut apprendre jusqu’à 200 mots ! Avec de l’entraînement il sera capable de prononcer des mots adaptés à chaque situation.

zoom sur : la perruche ondulé

Avec la calopsitte, la perruche ondulé fait partie des oiseaux en captivité les plus populaires dans le monde. C’est un oiseau dynamique et curieux, mais surtout remplis de charme de par la beauté de son plumage coloré. La perruche ondulée, malgré son petit gabarit, a besoin d’espace pour se déplacer et jouer. Il conviendra d’aménager dans sa cage une véritable aire de jeu : perchoirs, balançoires et jouets devront être installés.

leur différentes mutation :

la mutation c’est quand la perruche prend sa couleur.

la mutation verte :

La mutation verte est la couleur la plus proche de la couleur naturelle des perruches ondulées du monde sauvage. C’est pourquoi les perruches ondulées de mutation verte sont communément appelé mutation « sauvage« . Il existe trois sortes de mutation verte : vert claire (celle dites type « sauvage »), vert foncée et vert olive. C’est le facteur foncé qui va affecter la couleur du corps de la perruche. S’il y a 0 facteur foncé =cela donne un vert (ou vert clair, ou type « sauvage », couleur lumineuse). S’il y a 1 facteur foncé cela donne un vert foncé (vert plus sombre) et s’il y a 2 facteurs foncés cela donne un vert olive ( couleur terne et profonde, vert olive comme le nom l’indique).

la mutation bleu :

La mutation Bleue est apparue en 1881 en Hollande, c’est une mutation récessive. Cette mutation engendre une suppression totale des caroténoïdes (le jaune), c’est pourquoi la perruche apparait toute bleue, au masque blanc (visage, plumes des ailes), et les ondulations ne sont pas altérées. Les spots sont noires et les tâches auriculaires sont bleues. Il existe trois sortes de mutation bleue (tout comme le vert). La perruche qui a la mutation avec 0 facteur foncé est bleu ciel. Avec 1 facteur foncé elle est cobalt (bleu plus sombre), et avec 2 facteurs foncés elle est bleue mauve (la perruche mauve aura les tâches auriculaires violettes, contrairement à un gris où les tâches auriculaires sont grises-bleues). Ces deux dernières sortes (colbalt et mauve, sont apparues vert 1921 en France.

la mutation gris :

La mutation grise est apparue en 1936 en Australie, c’est une mutation dominante. Cette mutation aussi appelé « gris Australien » modifie la couleur de la perruche, qui apparait grise sur une perruche de base blanche (bleue), et gris-vert kaki sur une perruche de base jaune (verte). Les tâches auriculaires sont grises-bleues. Les rétrices passent de la couleur bleue (ou verte) à la couleur noire. Si la perruche est de base verte, cela donnera un gris-vert (moutarde), si la base est bleue, ce sera gris-bleu sur trois tonalités possible : gris clair pour le bleu facteur foncé 0, gris fumé pour le bleu facteur foncé 1, et gris foncé (anthracite) pour le facteur foncé 2.

le facteur violet :

C’est un facteur à hérédité dominante, qui engendre une perruche ondulée soit mutée soit non porteur. Il n’existe pas de porteur de violet. Pour que la couleur violette s’exprime il faut que la perruche ondulée soit bleue, possédant un facteur foncé et un facteur violet. C’est donc un Colbalt possédant un facteur violet. Sur une perruche de la base jaune, le facteur violet ne sera pas visible, hormis des reflets violets au niveau des plumes du cloaque.
Sur une perruche ondulée de base blanche sans ce facteur foncé, on parlera de « bleu violet », qui aura des reflets violets répartis de manière inégale sur le corps.

la mutation opaline :

Cette mutation est née en Australie en 1932 et elle est apparue par la suite spontanément en Europe. « L’opaline » est une mutation qui s’ajoute aux mutations de couleur de base (vert, bleu, gris, violet) et ainsi elle existe sur ces différentes couleurs. A l’aspect physique, il faut un œil exercé pour constater l’opaline. La mutation est liée aux sexe, il faut donc accoupler un mâle porteur avec une femelle mutée opaline.
On considèrera que le masque s’étend à toute la tête et les ondulations caractéristiques sont moins étendues. La mutation opaline engendre une diminution de la mélanine sur certaines parties du corps. La mutation forme un V absent d’ondulations sur le haut du dos après la nuque. de plus, les perles noires du masque sont bien définies et plus grandes. Parfois elles peuvent former un collier perlé.

mutations dilués :

  

La mutation « dilué » est apparue en 1870 en Belgique. Elle est représentée par un degré plus important de la dissolution de la couleur du plumage de la perruche ondulée, parce que la présence de mélanine est plus faible. De plus, le contraste ailes/corps sera très marqué par rapport à un oiseau non muté dilué. Quand la perruche ondulée est mutée diluée, son corps semble plus clair et ses ailes brillantes avec une couleur plus vive.

 

Les perruches ondulées porteuses de la mutation « ailes grises » ont leurs perles et leurs ondulations d’un gris fumé. La tonalité du corps est diluée de moitié de part la mutation, de façon uniforme. Les grandes régimes et les rétrices apparaissent grises, voir légèrement bleutées.

la mutation latino :

La mutation Lutino est apparue en 1936 naturellement en Australie, et en 1870de façon recherchée en Angleterre. La perruche Lutino est entièrement jaune, aux yeux rouges et sans cercle oculaire Le jaune peut être clair, moyen ou foncé (jaune paille, à bouton d’or). Il y a une disparition totale de la mélanine, donc des ondulations et les spots n’apparaissent pas, et les tâches auriculaires sont blanches. Ses rémiges et rétrices sont plus claires voir blanches. C’est l’absence de mélanine qui fait que la perruche est jaune, le bleu n’apparait pas, seule le jaune subsiste (pour une perruche verte). Les mâles ont donc la cire rose. La mutation est liée au sexe.

la mutation perlées :

La mutation « perlée » est apparue en Australie en 1972, et c’est une mutation dominante. Les marques des ailes sont décolorées, conservant seulement de fines bordures oxydées. Les spots sont également dépourvus de mélanine en leur centre. Le dessin des plumes ressemble à une série de liserés foncées au centre clair, de différentes tonalités. La mutation perlé double facteur donne sur les perruche de la série verte des perruches entièrement jaunes (aux yeux noirs) et sur la série bleu une perruche entièrement blanche (aux yeux noirs).

en savoir plus : https://www.perruche-perroquet.com/perruche-ondul%C3%A9e/les-mutations-et-les-couleurs-de-la-perruche-ondul%C3%A9e/

il peut y avoir des variantes.

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le matériel qu’il faut pour avoir un oiseau

Le plus important est la cage. Suivant le nombre d’oiseau(x) adopté, elle doit être plus ou moins grande.

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La partie du bas sert à mettre la litière, qui ressemble beaucoup à du sable.