vie collective: comportements de Dudley (et des Dursley) qui vous ont choqués
lien chap1 T1
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A huit heures et demie, Mr Dursley prit son attaché-case, déposa un baiser sur la joue de Mrs Dursley et essaya d’embrasser Dudley, mais sans succès, car celui-ci était en proie à une petite crise de colère et s’appliquait à jeter contre les murs de la pièce le contenu de son assiette de céréales.—Sacré petit bonhomme, gloussa Mr Dursley en quittant la maison.
11/10 La table avait presque entièrement disparu sous une montagne de cadeaux.
Dudley comptait ses cadeaux.
Lorsqu’il eut terminé, ses joues s’affaissèrent.
— Trente-six, dit-il en levant les yeux vers ses parents. Ça fait deux de moins que l’année dernière.— Mon petit chéri, tu n’as pas compté le cadeau de la tante Marge, regarde, il est là, sous ce gros paquet que Papa et Maman t’ont offert.— D’accord, ça fait trente-sept, dit Dudley qui commençait à devenir tout rouge. Harry, qui sentait venir une de ces grosses colères dont Dudley avait le secret, s’empressa d’engloutir ses œufs au bacon avant que l’idée vienne à son cousin de renverser la table. De toute évidence, la tante Pétunia avait également senti le danger.— Et nous allons encore t’acheter deux autres cadeaux, dit-elle précipitamment, quand nous sortirons tout à l’heure. Qu’est-ce que tu en dis, mon petit agneau ? Deux autres cadeaux. Ça te va ? Dudley réfléchit un bon moment. Apparemment, c’était un exercice difficile. Enfin, il dit lentement :— Donc, j’en aurai trente… trente…— Trente-neuf, mon canard adoré, dit la tante Pétunia.— Bon, dans ce cas, ça va.
3/10
— Je suppose que vous n’avez pas l’intention de me dire pour quelle raison vous êtes venu dans cet endroit précis ?— Je suis venu confier Harry à sa tante et à son oncle. C’est la seule famille qui lui reste désormais.— Vous voulez dire… non, ce n’est pas possible ! Pas les gens qui habitent dans cette maison ! s’écria le professeur McGonagall en se levant d’un bond, le doigt pointé sur le numéro 4 de la rue. Dumbledore… vous ne pouvez pas faire une chose pareille ! Je les ai observés toute la journée. On ne peut pas imaginer des gens plus différents de nous. En plus, ils ont un fils… je l’ai vu donner des coups de pied à sa mère tout au long de la rue en hurlant pour réclamer des bonbons. Harry Potter, venir vivre ici !