liens extraits vidéos, persos et lieux + résumé chap12 T1 Le miroir du Rised

les génially-ssimes de Dorothée

Page 3 : L’hiver s’installe.
Noël approchait. A la mi-décembre, la neige avait recouvert le château de Poudlard et ses environs. Fred et George Weasley avaient été punis pour avoir ensorcelé des boules de neige qui suivaient Quirrell partout où il allait en visant son turban.

Page 4 : Bientôt les vacances.
Tout le monde attendait les vacances avec impatience. Depuis la défaite de Serpentard, Malefoy était plus désagréable que jamais.

Jaloux car tout le monde avait été impressionné par la virtuosité avec laquelle Harry avait réussi à s’accrocher à son balai, Drago Malefoy se consolait en critiquant ceux qui devaient rester à Poudlard pour Noël, en visant Harry tout particulièrement.
Page 5 : Projet pour les vacances.
Harry n’avait pas l’intention de retourner chez les Dursley pour les vacances de Noël, il avait été dans les premiers à s’inscrire pour rester à Poudlard auprès du Professeur McGonagall et il en était très heureux. Les quatre frères Weasley allaient également rester, Mr et Mrs Weasley aller rendre visite à Charlie en Roumanie. Hermione, quant à elle, allait rentrer chez ses parents.
Page 6 : Sapin de noël et points en moins.
En sortant d’un cours de potion, il rencontrèrent un gigantesque sapin avec des bottes qui trahissait la présence d’Hagrid.

Malefoy se moqua une nouvelle fois de la famille de Ron. Au moment où Ron se rua sur Malefoy, Rogue arriva par les escaliers. Il fit perdre cinq points à la maison Gryffondor pour le comportement de Ron : « C’est possible Hagrid, mais il est interdit de se battre à Poudlard », répliqua Rogue après la tentative de Hagrid de le défendre. « Il a été provoqué. Malefoy a insulté sa famille. » Pour leur changer les idées, Hagrid proposa à Ron, Harry et Hermione de l’accompagner à la Grande Salle. « Allons, un peu de gaité. C’est bientôt Noël ».
Page 7 : La Grande Salle.
Le château était décoré pour Noël. La Grande Salle était magnifique. Des guirlandes de gui et de houx étaient suspendues aux murs et pas moins d’une douzaine d’arbres de Noël se dressaient tout autour de la salle. Certains recouverts de glaçons scintillants, d’autres de centaines de chandelles allumées.

Page 8 : La bibliothèque.
Il ne restait plus qu’un jour avant les vacances et Hermione dit aux garçons qu’ils devraient continuer leurs recherches sur Nicolas Flamel pendant son absence. Ça faisait plus de deux semaines qu’ils passaient le plus clair de leur temps libre à feuilleter chaque bouquin de la bibliothèque, sans succès. Ils ne savaient pas par
où commencer, car ils ignoraient ce que Nicolas Flamel avait fait qui soit digne de figurer dans un livre. Il n’était pas dans Les Grands Sorciers du XXème Siècle, ni dans Les noms célèbres du monde magique contemporain, ni dans Les Grandes Découvertes Magiques, encore moins dans Etudes des récents progrès de la sorcellerie. Il restait encore des milliers et des milliers de livres et ils n’avaient pas renoncé pour autant.
Page 9 : La réserve.
Il restait encore les livres de la réserve mais les première année n’étaient pas autorisées à y accéder, car ils traitaient de magie noire, une matière non étudiées à Poudlard. Seuls les étudiants de septième année, avec une autorisation d’un professeur et dans le cadre de recherches sur la défense contre les forces du mal,  pouvaient exceptionnellement les consulter.
Page 10 : Début de vacances.
Les vacances commencèrent et Harry et Ron n’avaient pas le temps de penser à Nicolas Flamel. Ils passèrent tout leur temps libre à s’amuser. Ils avaient le dortoir pour eux seuls et la salle commune ne rassemblait plus grand monde. Ils restaient des heures assis dans les meilleurs fauteuils, près de la cheminée, à manger ce qu’ils faisaient cuire à la broche (pain, pancakes, marshmallows) tout en échafaudant des plans irréalisables pour faire renvoyer Malfoy de l’école.
Page 11 : Les Echecs, version sorcier.
Ron apprit à Harry à jouer aux échecs version sorcier. Les règles étaient les mêmes que chez les moldus mais les pièces étaient vivantes, ce qui donnait l’impression de diriger une armée en pleine bataille. Harry ne savait pas très bien jouer et les pièces contestaient sans cesse ses décisions.

Page 12 : Matin de Noël.
La veille de Noël, Harry se coucha en pensant au lendemain. Ce serait sans aucun doute une merveilleuse journée, il n’en attendait pas plus. Cependant, au réveil de ce matin de Noël, Harry eut la surprise de voir qu’un petit tas de paquets l’attendait au pied de son lit : ses cadeaux de Noël. Il ne s’attendait pas à en
avoir, surtout autant.

Page 13 : Harry déballe ses cadeaux.
Dans les paquets, Harry trouva une flûte en bois, faite à la main par Hagrid

et un pull vert émeraude à la mode Weasley tricoté à la main par madame Weasley car Ron avait dit à sa mère qu’Harry n’aurait pas de cadeaux. Il reçut également des confiseries comme des fondants du chaudron de la part de Mrs Weasley ou des chocogrenouilles envoyés par Hermione. Il reçut même un cadeau de la part des Dursley : une simple pièce de cinquante centimes scotché sur un morceau de papier, pièce qu’il donna à Ron tant sa forme l’intriguait.
Page 14 : Dernier cadeau.
Et pour finir, Harry ouvrit son dernier cadeau :

un morceau de tissu très léger, d’une teinte argentée glissa sur le sol où il forma un petit tas aux reflets luisants. Ron en resta bouche bée.
– C’est une cape d’invisibilité. J’en suis sûr, maintenant. Essaye-la.
Harry ramassa la cape avant de la jeter sur ses épaules et Ron poussa un cri. Il ne restait que sa tête flottant dans les airs, constata-t-il en se regardant dans un miroir.

Page 15 : Cadeau et héritage.
Ron trouva un mot accompagnant le cadeau.

Il n’y avait pas de signature. Harry avait un sentiment étrange : cette cape avait appartenu à son père. Qui avait bien pu la lui envoyer ?
Page 16 : G et F.
Harry n’eut pas le temps de penser à quoi que ce soit d’autres car les jumeaux Weasley débarquèrent dans leur dortoir, Harry cacha aussitôt sa cape d’invisibilité. Il ne voulait partager son secret avec personne d’autre. Fred et George remarquèrent avec amusement le pull de Harry puis se moquèrent des leurs qui étaient les seuls à être ornés d’un F jaune pour l’un et d’un G jaune pour l’autre, comme s’ils ne connaissaient pas leur prénom, arguant : « on est pas idiots, on sait très bien qu’on s’appelle Greg et Forge ».
Page 17 : Repas de Noël (1)
Jamais Harry n’avait passé un aussi bon réveillon. C’était une véritable fête. Plein de bonnes choses à manger dindes rôties, saucisses grillées, sauces onctueuses, confitures d’airelles, des pétards surprises qui offraient des cadeaux pas de jouets en plastique et de chapeaux en papier crépon comme chez les Dursley. Celui que Harry partagea avec Fred explosa comme un canon en les enveloppant d’une fumée bleue, il en sortit
un chapeau de contre-amiral et des souris blanches vivantes, des bûches de Noël et du pudding en dessert
avec des mornilles à l’intérieur. Percy avait failli se casser une dent.
Page 18 : Repas de Noël (2)
Le professeur Dumbledore riait aux histoires du professeur Flitwick et Hagrid, complètement ivre, fit un bisou sur la joue du professeur McGonagall qui gloussa, les joues rouges et le chapeau de travers.

Harry quitta la table les bras chargés de cadeaux découverts dans les pétards surprises comme des ballons lumineux increvables, kit pour faire pousser des verrues et un jeu d’échecs version sorcier.

Page 19 : Après-midi de Noël.
Harry passa l’après-midi à faire des batailles de boules de neige avec les Weasley puis, mouillés, frigorifiés et essouflés,

ils rentrèrent à l’abri dans la tour Gryffondor. Harry étrenna son jeu d’échecs et essaya de battre Ron, toujours sans succès.
A la fin de la journée, ils allèrent tous prendre le thé dans la Grande Salle avec des sandwichs à la dinde, de petites crêpes, de gâteaux à la confiture et et de pudding de Noël avant de rentrer se coucher. Somnolents, Harry et Ron regardèrent Percy se lancer à la poursuite de Fred et de George qui avaient volé son insigne de Préfet.
Page 20 : Soirée de Noël.
Jamais Harry ne s’était autant amusé à Noël. La cape d’invisibilité et son mystérieux expéditeur n’avaient cessé de lui tourner dans la tête tout au long de la journée. Alors que Ron s’endormit aussitôt, Harry prit la cape qu’il avait cachée sous son lit. Elle avait appartenu à son père. L’étoffe était légère comme un
souffle d’air, plus douce que de la soie.

Page 21 : Fais-en bon usage.
« Fais-en bon usage » était-il écrit sur le mot. Harry voulait l’essayer, il s’enveloppa de la cape. Désormais le château tout entier lui était ouvert. C’était la cape de son père, cette fois, la première fois, il voulait être seul. Harry quitta la salle commune de Gryffondor et décida d’aller dans la réserve de la bibliothèque.

Il pourrait passer le temps qu’il faudrait pour découvrir qui était Nicolas Flamel.
Page 22 : Les livres de la Réserve.
Il faisait tellement sombre qu’il dut allumer une lampe pour voir où il allait. Harry parcourut les rangées de livres. Il y en avait de toutes sortes. Certains formaient des mots qu’il ne comprenait pas et d’autres n’avaient même pas de titre. Il avait l’horrible impression d’entendre des chuchotements qui provenaient des livres,
comme s’ils savaient que quelqu’un se trouvait là qui n’aurait pas dû y être. Il fallait bien commencer quelque part, Harry posa sa lampe et regarda l’étagère du bas.
Page 23 : Un livre, un cri, une fuite.
Harry prit un livre qui attira son attention. Il était si lourd qu’il le fit tomber par terre. Il s’ouvrit. Soudain un hurlement, à glacer le sang, retentit dans le silence de la bibliothèque. C’était le livre qui criait.

Dans la panique Harry tomba par terre et renversa sa lampe qui s’éteignit instantanément. Il referma le livre et le rangea avant de prendre la fuite sans regarder où il allait.
Page 24 : Fuite.
Harry tomba nez à nez avec Rusard, les yeux pâles et furieux du gardien ne le voyaient pas, il réussit à se faufiler entre lui et le mur et fonça dans le couloir. Harry ne savait pas où il était, il s’arrêta pour écouter ce qu’il se passait. Il entendit la voix de Rusard : il avertissait un professeur que quelqu’un venait de roder la nuit dans la bibliothèque. Harry reconnut avec horreur la voix de Rogue .
Ils les entendit se rapprocher. Harry aperçut une porte entrouverte et s’y engouffra sans bruit. A son grand soulagement, le professeur et le concierge ne continuèrent leur chemin.
Page 25 : Le Miroir.
Harry se trouvait à présent dans une salle de classe désaffectée. Quelque chose attira son attention : un énorme et magnifique miroir posé contre le mur d’en face. Harry déchiffra l’inscription suivante au-dessus du miroir : « riséd elrue ocnot edsi amega siv notsap ert nomen ej. » Harry retira sa cape et s’en approcha.
Soudain il sursauta et se retourna, une main sur la bouche pour étouffer un cri d’horreur. Son reflet était apparu mais il n’était pas seul, une dizaine de personnes se tenaient derrière lui. La pièce était pourtant vide. Harry était seul.
Page 26 : Sa famille (1)
Il observa le miroir à nouveau.

Ils étaient toujours là malgré la pièce vide. Une femme souriait en lui faisant des signes de la main. Elle était très belle, elle avait des cheveux auburn et ses yeux … « Ses yeux sont comme les miens » pensa Harry en s’approchant un peu plus du miroir. D’un vert brillant et de même forme.
Il s’aperçut alors que la femme souriait et pleurait en même temps.
Page 27 : Sa famille (2)
Il y avait un homme à côté d’elle qui la tenait par l’épaule. Il était grand, mince, avec des cheveux noirs. Il avait des lunettes et ses cheveux étaient très mal coiffés. Il avait des épis qui dépassaient à l’arrière de son crâne, tout comme Harry.
Page 28 : Sa famille (3)
– Maman, murmura-t-il. Papa ?
Ses parents le regardaient en souriant. Pour la première fois de sa vie, Harry avait sa famille devant les yeux. Il avait les mains plaquées contre le miroir comme s’il espérait passer au travers. Quelque chose lui faisait mal à l’intérieur de son corps: un mélange de joie et de tristesse. Harry ne se rendit pas compte du temps qu’il passa devant le miroir. Il promit à sa mère de revenir avant de quitter la pièce.
Page 29 : Le lendemain.
Le lendemain, il raconta à Ron ce qu’il avait vécu et lui proposa de l’accompagner le soir-même. Harry avait bien l’intention d’y retourner. Il en avait presque oublié Flamel. Il se fichait à présent de ce chien à trois têtes et de ce qu’il gardait.
Harry voulait juste revoir sa famille. Le problème, c’est qu’il n’avait pas très bien retenu le chemin pour retrouver la pièce avec le miroir. La nuit tomba. Harry et Ron, tous les deux sous la cape d’invisibilité, mirent une bonne heure à retrouver la pièce.
Page 30 : Ce que tu vois ...
Ils étaient tous là, son père et sa mère sourirent en revoyant leur fils. Ron ne les voyait pas, il vit autre chose: il se voyait plus vieux, préfet en chef et capitaine de l’équipe de Gryffondor avec la coupe de Quidditch à la main.

Ron demanda si ce miroir montrait l’avenir, Harry se dit que c’était impossible. Toute la famille
Potter était morte. Peu après, ils entendirent un bruit dans le couloir. Harry voulut rester mais Ron réussit à le tirer hors de la salle.
Page 31 : Le Miroir du Riséd.
Le lendemain, Harry n’avait pas le moral. Il ne pensait qu’à une seule chose:  retourner devant le miroir. Bien que Ron était contre, Harry décida d’y retourner le soir. Assis par terre, devant le miroir, il ne décrochait pas les yeux de ses parents lorsqu’une personne prononça son nom derrière lui.
– Alors? Tu es encore là, Harry ?
Albus Dumbledore ne paraissait pas en colère. Il vint s’asseoir par terre, à côté de Harry et lui parla:
– Comme des centaines de personnes avant toi, tu as découvert le bonheur de contempler le Miroir du Riséd.

Page 32 : Ce que le miroir nous montre.
Dumbledore semblait être au courant de ce que voyait Harry et Ron. Harry lui demanda comment il savait tout ça et Dumbledore lui répondit qu’il n’avait pas besoin de cape pour devenir invisible. Ensuite il lui demanda s’il avait compris comment fonctionnait le miroir mais Harry n’en était pas sûr.
– Pour l’homme le plus heureux de la terre, le miroir du Risèd ne serait qu’un miroir ordinaire, il n’y verrait que son reflet.
– Il nous montre ce que nous voulons voir …
Page 33 : Ce que notre coeur désir.
– Oui et non, répondit Dumbledore, il ne montre rien d’autre que le désir le plus profond, le plus cher que nous ayons au fond de notre coeur. Toi qui n’as jamais connu ta famille, tu l’as vue soudain devant toi. Ronald Weasley qui a toujours vécu dans l’ombre de ses frères, s’est vu enfin tout seul, couvert de gloire et
d’honneurs. Mais ce miroir ne peut apporter ni la connaissance ni la vérité. Des hommes ont dépéri ou sont devenus fous en contemplant ce qu’ils y voyaient car ils ne savaient plus si ce que le miroir leur montrait, était réel ou même possible.
Page 34 : Et vous, que voyez-vous ?
Dumbledore annonça ensuite que le miroir serait déménagé le lendemain et demanda à Harry de ne pas essayer de le retrouver.
– Ça ne fait pas grand bien de s’installer dans les rêves en oubliant de vivre, souviens-toi de ça. Et maintenant remets donc cette cape merveilleuse et retourne te coucher.
Avant de partir, Harry demanda au professeur ce qu’il voyait dans le miroir. Dumbledore répondit qu’il se voyait avec une paire de chaussettes de laine à la main. Il ajouta que Noël venait de passer et qu’il n’en avait pas reçu une paire. Les gens s’obstinaient à lui offrir des livres.
Page 35 : Question personnelle.
Harry retourna dans le dortoir des Gryffondor et se demanda si Dumbledore lui avait bien répondu la vérité. Mais après tout, c’était peut-être une question un peu trop personnelle.

 

Joyeux Noël!

chant/musique: 🎶 ​Tu vois loin – Eiffel🎤

 

version raccourcie:

Tu les sens les courants d’air qui s’faufilent sous tes couettes
Jusqu’aux p’tites mèches qui frangent insolemment ta frontale
Toutes ces pensées agiles qui en traversant les villes
Sont à deux doigts de s’faire du bien en s’faisant la malle

 

Si l’or a un prix et que ce prix est l’ennui

Toi tu s’ras sûrement là pour percuter l’immobile!

 

Les éclairs de tes yeux crachent à l’infini
On n’peut les contempler sans être ébloui
Fluide comme l’air d’un tout nouveau pays
De la lumière à en déchirer la nuit

Tu vois loin x3

beaucoup plus loin que nous

 

T u vois loin comme quand on ne sait rien et que l’on sent tout
Et dans la p’tite cuillère faire glisser
L’ordinaire que l’on catapulte au loin

Tu vois loin x2

 

Les éclairs de tes yeux crachent à l’infini
On n’peut les contempler sans être ébloui
Fluide comme l’air d’un tout nouveau pays
De la lumière à en déchirer la nuit

 

Tu vois loin x3

beaucoup plus loin que nous

 

loin loin loin

beaucoup plus loin que nous

art visuel: les mélanges et l’art abstrait Kandinsky chap 8 T1 Le maitre des potions

On va apprendre deux nouvelles techniques pour faire de jolis fonds:

 

en lien avec les mélanges

 

1- en atelier, par groupe de 4: Mousse à raser + encre
Mettre de la mousse à raser sur un plateau ou de l’aluminium,
L’étaler,
Rajouter quelques gouttes d’encre et
Dessiner avec quelque chose de pointu (aiguille en plastique, pic à brochette, etc…).
Poser la feuille cartonnée sur notre mélange mousse/encre et on appuie pour faire adhérer la mousse.
Récupérer la feuille et enlever la mousse à raser en raclant la feuille avec une règle. Soit on la remet sur le plateau pour l’enfant suivant, soit on jette la mousse à raser déjà colorée si tout le groupe est passé.
Selon les couleurs utilisées, l’étalement de la mousse à raser, les dessins dessinés avec l’encre, le résultat change complètement.
Une fois les fonds finis, on travaillera sur l’art abstrait et sur l’oeuvre Jaune-Rouge-Bleu de Kandinsky et vous essaierez de trouvez des formes particulières au noir sur votre fond.

 

exemple de production:

en lien avec les potions (é-bull-ition)

 

2- en atelier, tout seul

l’é-bull-ition dans les potions:

faire un fond de bulles colorées en t’inspirant de:

https://lateliergeant.geant-beaux-arts.fr/tutos-demos/peinture-tutos-demos/peindre-avec-des-bulles-de-savon-par-amylee/

exemple de production:

[Après séchage, une tête de tyrannosaure est apparue sur celui d’Antoine!]

Quelques cercles- peint en 1926 – Kandinsky

écriture: formation des lettres en lié : Y

 

formation des lettres en lié : I

 Sur une ardoise avec les lettres.

 

formation des lettres en lié : I

 

Une ligne sur ta feuille de « Travail du jour »

 

formation des lettres en lié : I

Deux mots à écrire sur ta feuille de « Travail du jour »
​1 – mot en français:​

 

2 – ​mot en anglais:

 

 

formation des lettres en lié : I

Sur ta feuille de « Travail du jour ».

 

Dans le tome 2, pendant un des cours de Gilderoy Lockhart, Harry doit jouer un Yéti pour reconstituer une des scènes clés d’un de ses livres: une année avec le Yéti.

 

écriture: recette d’une potion lien chap8 T1 Harry Potter

lien Georges Bouillon Roald Dahl

Cuisiner, c’est avant tout transformer des ingrédients en une matière comestible nouvelle: un plat. Il en est de même pour la préparation d’un médicament et … d’une potion magique.

L’ébullition est l’une des phases essentielles de cette transformation.  (lien sciences les différents états de l’eau). Venant du verbe latin bullire, bouillir signifie « faire des bulles ».

Roald Dahl a choisi soigneusement le nom de famille de Georges. (Bouillon)

 

Apprentis sorciers:

RECETTE INDIVIDUELLE pour notre grimoire de potions

Comment faire pour écrire une recette ?

Je vais vous distribuer des recettes et vous allez essayer de trouver les ressemblances.

Comment sont disposés les différents éléments ?

**************

Pour le titre, il commencera par ‘Pour …’ . Par exemple, si je veux comme Georges que ma recette fasse disparaitre quelqu’un, le titre de ma recette sera : Pour faire disparaitre quelqu’un.

Réfléchissez à ce que vous voudriez que votre potion fasse, puis écrivez le titre de la recette.

Il faut maintenant choisir les ingrédients que vous voudrez utiliser dans la recette.

Pour vous aider, vous pouvez utiliser les ingrédients tirée de Georges Bouillon.

jeu de la cuisine des mots

-écrire le nom d’une partie du corps humain ou d’animal sur un bout de papier puis le mettre dans la 1ère enveloppe. 

cité dans ces pages:

 

[Ceux que vous avez trouvé en + : bave, crotte, caca, jus, poudre, plume, morve, sang, peau, brin, cou, oreilles 

-écrire la préposition « de » + nom d’être vivant (humain, animal, animal fantastique) (+adj)  sur un bout de papier puis le mettre dans la 2ème enveloppe. 

cité dans ces pages:

 

[Ceux que vous avez trouvé en + : de poubelle, de licorne, de dragon, de Touffu, d’herbe

tirer un papier dans chaque enveloppe pour avoir un nom d’ingrédient, précise la quantité.

 

Tout ceci est encore insuffisant pour qu’on obtienne une véritable recette de potion magique. En effet sauriez-vous réaliser cette recette proposée par Gabriel rien qu’avec la liste de ingrédients?

Qu’est-ce que le texte de la recette apporte comme informations?

On va barrer dans le texte de la recette, toutes les informations que donnent déjà la liste des ingrédients.

Ce qu’il reste, c’est la marche à suivre. Comment appelle-t-on la majorité des mots qui la compose?

Ecrivez maintenant quoi faire avec les ingrédients.

(Les mettre dans un chaudron, faire bouillir l’eau, mélanger les yeux de tortue avec la farine, éplucher des ailes de hibou…)

Vous pouvez utiliser cette liste de verbes pour trouver les mots et savoir comment les écrire.

faire bouillir, ajouter, incorporer, arroser, laisser/faire mijoter, bien remuer, cuire, griller, frire, rôtir, couper, découper, inciser, ciseler, hacher, râper, nettoyer, presser, éplucher, émincer,  mélanger, mettre, saupoudrer, assaisonner, poivrer, saler, sécher, servir, verser, 

Agrémentez votre recette d’une ponctuation, de verbes sans complément (saler…), d’une ou deux indications de cuisson (une pincée, une goutte, ___g, une cuillère à café, à soupe ….) : votre recette est prête!

 

 

RECETTE COLLECTIVE: 

ingrédients: eau du lac de Poudlard, poils de Touffu, feuilles du filet du diable, potion des flammes noires, racines de mandragores, larme de phénix

verbes à utiliser

verser, inciser, ciseler, ajouter, couper, incorporer.

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Apprentie sorcière dans les Contes Courts 

 

écriture: formation des lettres en lié : X

 

formation des lettres en lié : I

 Sur une ardoise avec les lettres.

 

formation des lettres en lié : I

 

Une ligne sur ta feuille de « Travail du jour »

 

formation des lettres en lié : I

Deux mots à écrire sur ta feuille de « Travail du jour »
​1 – mot en français:​

2 – ​mot en anglais:

 

 

formation des lettres en lié : I

Sur ta feuille de « Travail du jour ».

 

En anglais, X-mas est une abréviation pour le mot « Christmas » qui signifie Noël.

littérature: la potion magique de Georges Bouillon de Roald Dahl lien chap8 T1

 

Grandma    (extrait)
Un samedi matin, la mère de Georges Bouillon dit à son fils :
— Je vais faire des courses au village. Sois sage et ne fais pas de bêtises.
Voilà exactement ce qu’il ne faut pas dire à un petit garçon, car cela lui donne aussitôt l’idée d’en faire !
— Et à onze heures, n’oublie pas de donner sa potion à Grandma, poursuivit la mère.
Puis elle sortit en refermant la porte.
Grandma, qui sommeillait dans son fauteuil, près de la fenêtre, ouvrit un petit œil méchant.
— Tu as entendu ce qu’a dit ta mère, Georges, aboya-t-elle. N’oublie pas ma potion.
— Non, Grandma, dit Georges.
— Et pour une fois, sois sage tant qu’elle n’est pas là.
— Oui, Grandma, dit Georges.
Georges s’ennuyait à mourir. Il n’avait ni frère ni sœur. Son père était fermier et, comme la ferme était loin de tout, Georges n’avait pas d’amis avec qui jouer. Il en avait par-dessus la tête de vivre dans la même maison que cette vieille ourse mal léchée de Grandma.
Passer son samedi matin à s’occuper d’elle ne le réjouissait guère.
— Prépare-moi une petite tasse de thé, dit Grandma à Georges. Ça t’empêchera de faire des bêtises pendant un moment.
— Oui, Grandma, répondit Georges.
— Combien de cuillerées de sucre dans ton thé, aujourd’hui, Grandma ? demanda Georges.
— Une, répondit-elle sèchement. Et n’ajoute pas de lait.
La plupart des grand-mères sont d’adorables vieilles dames, gentilles et serviables, mais pas celle-là. Elle passait sa journée, toutes ses journées, assise dans son fauteuil, près de la fenêtre et elle était tout le temps en train de se plaindre, de bougonner, de ronchonner, de râler et de pester sur tout et sur rien. Jamais, même dans ses bons jours, elle n’avait souri à Georges, jamais elle ne lui avait dit : « Bonjour, Georges, comment ça va ? » ni : « Et si on jouait au jeu de l’oie ? » ni : « Comment ça s’est passé à l’école aujourd’hui ? » Elle ne
s’intéressait qu’à elle.
Georges alla à la cuisine et prépara une tasse de thé avec un sachet. Il mit une cuillerée de sucre en poudre, remua et apporta la tasse dans la salle de séjour.
Grandma but une petite gorgée de thé.
— Il n’est pas assez sucré, dit-elle. Ajoute un peu de sucre.
Georges ramena la tasse dans la cuisine et ajouta une autre cuillerée de sucre. Puis il remua et rapporta la tasse à Grandma.
— Où est la soucoupe ? demanda-t-elle. Je veux une soucoupe avec ma tasse.
Georges partit chercher une soucoupe.
— Et la cuillère, s’il te plaît ?
— J’ai remué pour toi, Grandma. J’ai bien remué.
— Merci bien, je remue mon thé, moi-même, dit-elle. Va me chercher une cuillère.

Georges alla chercher la cuillère.
Quand les parents de Georges étaient à la maison, Grandma ne se montrait jamais aussi capricieuse. Mais quand elle restait seule avec lui, elle le rudoyait sans cesse.
— Tu sais ce qui ne va pas, chez toi ? dit la vieille femme, en regardant Georges de ses petits yeux brillant de méchanceté. Tu grandis trop vite. Les garçons qui grandissent trop vite deviennent stupides et paresseux.
— Mais je n’y peux rien, Grandma, répliqua Georges.
— Ne mange plus du chocolat. Mange plutôt du chou.
— Du chou ? Oh, non ! protesta Georges. Je n’aime pas le chou.
— Que tu aimes ou pas, peu importe, coupa Grandma. Ce qui compte, c’est ce qui est bon pour toi. A partir de maintenant, tu mangeras du chou trois fois par jour. Des montagnes de choux. Et tant mieux s’il y a des chenilles !
— Beurk ! fit Georges.
— Les chenilles rendent intelligent, dit la vieille femme.
— Maman lave soigneusement les feuilles de chou, répliqua Georges.
— Maman est aussi idiote que toi, affirma Grandma. Le chou n’a aucun goût sans quelques chenilles bouillies, ni sans limaces.
— Des limaces, non ! s’écria Georges Jamais je n’en mangerai !
— Moi, dit Grandma, quand je vois une limace vivante sur une feuille de salade, je l’avale aussitôt, avant qu’elle ne s’enfuie. C’est délicieux.

— Tu plaisantes, Grandma ?
— Je ne plaisante jamais, dit-elle. Les scarabées sont peut-être encore meilleurs. Ils croustillent sous la dent.

— Grandma, c’est dégoûtant !
Georges se mit à filer vers la porte. Il voulait fuir loin de cette écœurante vieille femme.
— Tu essaies de t’enfuir, n’est-ce pas ? dit-elle en pointant son doigt vers lui. Tu veux abandonner ta Grandma.
« C’est peut-être… une sorcière ! » se dit Georges. Il avait toujours pensé que les sorcières n’existaient que dans les contes de fées mais, à présent, il n’en était pas sûr.
— Approche-toi, petit, dit-elle, lui faisant signe de son doigt crochu. Approche-toi, et je te confierai des secrets.
Georges recula d’un pas, se rapprochant un peu plus de la porte.
— Tu ne dois pas avoir peur de ta vieille Grandma, dit-elle, avec un sourire sinistre.
Georges fit un autre pas en arrière.
— Certains d’entre nous ont des pouvoirs magiques, qui peuvent transformer les créatures humaines.
Un picotement électrique parcourut la colonne vertébrale de Georges. Il commençait à
avoir peur.
— Certains d’entre nous, continua la vieille sorcière, ont du feu au bout de la langue, des étincelles dans le ventre et des éclairs au bout des doigts… Nous savons ce qu’il faut faire pour que tu te réveilles un beau matin avec une longue queue par-derrière.
— Grandma, arrête ! s’écria-t-il.
Georges fonça vers la porte.
— Tu peux toujours courir, dit-elle, tu ne nous échapperas pas. Georges claqua la porte derrière lui et se réfugia dans la cuisine.

Un plan diabolique
Georges s’assit à la table de la cuisine. Il tremblait encore. Oh ! comme il détestait Grandma ! Il haïssait vraiment cette horrible vieille sorcière. Et tout à coup, il eut terriblement envie de faire quelque chose Une chose énorme. Une chose absolument terrifiante. Une chose abominable. Une véritable bombe. Il voulait « chasser cette odeur de sorcellerie qui flottait autour de la mégère. Il n’avait que huit ans, certes, mais c’était un courageux petit garçon. Il était prêt à défier la sorcière !
« Je ne vais pas me laisser terroriser », se dit-il.
Mais il était bel et bien terrorisé. C’est pourquoi il voulait se débarrasser d’elle sur-le-champ.
Enfin… pas tout à fait. Il voulait la secouer un peu.
Exactement, la secouer. Mais qu’inventer d’énorme, de terrifiant, d’explosif ?
Il aurait bien mis un pétard sous le fauteuil, mais il n’avait pas de pétard.

Il aurait bien aimé lui glisser un long serpent vert dans le cou, mais il n’avait pas de long serpent vert.

Il aurait bien aimé lâcher six gros rats, noirs dans la pièce où elle se trouvait, mais il n’avait pas six gros rats noirs.

Georges réfléchissait à ce passionnant problème, lorsque son regard tomba sur la potion brunâtre de Grandma, posée sur le buffet. Encore un sale truc. On glissait dans la bouche de Grandma une cuillerée de ce médicament quatre fois par jour, mais il ne lui faisait aucun bien. Elle restait toujours aussi épouvantable. En principe, un médicament doit améliorer la santé des gens. S’il n’y réussit pas, il ne sert à rien.
« Oh ! oh ! pensa soudain Georges. Ah ! ah ! Eh ! eh ! je sais exactement ce que je vais faire. Je vais lui préparer une nouvelle potion, une potion si forte, si violente et si fantastique qu’elle la guérira complètement ou lui fera sauter la cervelle ! Je fabriquerai une potion magique, un médicament qu’aucun médecin n’a inventé jusqu’à présent. » Georges regarda l’horloge de la cuisine. Il était dix heures cinq. Il avait presque une heure devant lui, puisque Grandma devait prendre son médicament à onze heures.
— Allons-y ! s’écria Georges en se levant d’un bond. Vive la potion magique !

Une puce, un pou, une punaise des bois,
Deux gros escargots et trois lézards gras,
Un serpent de mer tortillant gluant,
Du jujubier le jus du fruit,
La poudre d’os d’un marsupilami,
Et puis mille et un autres produits.
Sentez-vous ? Vraiment répugnant.
Je remue, fais bouillir longtemps.
Belle mixture, en vérité !
C’est prêt !
Bouchez-vous le nez !
Et une cuillerée pour Grandma !
Allons, avale-moi ça !
C’est bon, n’est-ce pas ?
Va-t-elle éclater ? Exploser ?
S’envoler par-dessus les toits ?
S’évanouir dans la fumée ?
Pétiller comme du Coca ?
Qui sait ? En tout cas, pas moi !
Ma chère, chère Grand-maman,
Si tu savais ce qui t’attend..


On ne va pas lire tout le livre, on va rester sur l’idée de la potion.

Il est à disposition dans la classe pour ceux qui veulent connaitre la suite.

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